Zendegi, de Greg Egan (mars 2012)

[Erwann]

L'avis de Laurent Kloetzer.

[Erwann]

L'avis de Pascal J. Thomas dans KWS.

[Erwann]

L'avis d'Apophis.

[Clément]

Zendegi, dernier roman en date de l’auteur qui contre toute attente livre son récit le plus accessible, où un jeu vidéo multijoueurs iranien en immersion totale devient un enjeu géopolitique, commercial et intime. Un Egan sensible et puissant à mettre entre toutes les mains. Après, vous pourrez vous attaquer à plus costaud.

L'avis d'Actualitté

[Erwann]

Si Zendegi apparaît comme un titre abordable pour le néophyte, le roman n’en demeure pas moins une tentative inaboutie de mêler hard SF, considérations politiques, éthiques et récit psychologique. Pas sûr que les aficionados d’Egan s’y retrouvent, en dépit d’un résultat honorable.

L'avis d'Ubik.

[John Shooter]

Moi je dis qu'un auteur de hard SF ultra-sérieux qui cite Metallica dans les pages d'un de ses romans, c'est un Dieu. :-)

Sinon, je suis vraiment dérouté par ce roman.
A se demander si j'avais bien le bon livre entre les mains..!
Et puis, il y a un détail de rien qui me gène: dans les toutes premières pages, ce que le passager voisin déplore au sujet de la numérisation des textes parait un peu suranné, a posteriori. Depuis 2010, les techniques ont beaucoup évolué (comme pour la numérisation des vinyles, d'ailleurs). C'est assez surprenant qu'Egan offre un texte qui soit aussi vite rattrapé (dépassé?) par la technologie.

[John Shooter]

Bon, ben à ma grande surprise (et à ma grande déception) j'ai jeté l'éponge.

Jean-Jacques

[M]

Je garde un souvenir ambigue de Zendegi. Un moment de lecture agréable mais pas plus que ça. C est une porte d entrée pour Egan mais ce n est pas représentatif de son oeuvre.

[Erwann]

Le problème de Zendegi, c'est qu'il n'a pas parlé à grand-monde, à commencer par les fans de l'auteur. Et en plus, le roman a viré à l'uchronie, ce qui n'était pas forcément le but premier d'Egan.
Certes, je manque d'objectivité, mais je suis déçu par l'accueil réservé à ce roman, peut-être pas flamboyant mais loin d'être dénué de qualité et de subtilité.

[John Shooter]

Je ne dis pas le contraire! Et peut-être qu'avec un autre nom sur la couverture, j'aurais eu moins d'attente, je ne sais pas.
Tout ce que je peux dire, c'est qu'à un moment, j'en ai eu marre de le lire (je ne sais pas trop comment le décrire autrement). Plus d'envie, ça devenait une corvée, genre "je l'ai commencé, faut que je le finisse".
Et c'est la première fois qu'Egan provoque ça.