David Bowie est mort...

[ubikD]

Je garde un excellent souvenir de ce jeu.

[Erwann]

There's a Starman waiting in the sky…

[Olivier Girard]

Sur Rue 89, le réalisateur Duncan Jones raconte comment son père le gavait de science-fiction...

[Thomas Day]

David Bowie, le chanteur qui aimait la science-fiction.

TD

[Gregory Drake]

David Bowie, le chanteur qui aimait la science-fiction.

TD

Ah ah ! Diamond Dogs est un concept-album hyper SF que Bowie prévoyait comme une adaptation du 1984 d'Orwell. La famille s'y opposa et nous avons eu Diamond Dogs. Cet intérêt pour Orwell se retrouve dans sa liste de ses cent bouquins préférésau même titre, entre autres, que Burgess et le surprenant Colin Wilson , bien connu de nos services. LA SF transparaît dans beaucoup de ses albums : Took a trip on a Gemini Spaceshift (sur Heathen), The supermen (inspirée par Lovecraft) et The man who sold the world (inspirée par Heinlein) sur l'album éponyme, Glass Spiders, l'un des rares titres à sauver sur Never Let me Down, j'en passe et des meilleures. N'avit-il pas dit lui-même : "La SF, c'est moi !" ?
De toute manière, au delà de l’idolâtrie - dont il m'arrive parfois de faire preuve moi-même - ou de l'icônisation intensive créée par les médias et adoptée par la masse-girouette, pour peu qu'on se sente un peu concerné par l'art et la création, je partage amplement l'avis/conseil de Reeves Gabrels : “Now is the time to go deep. There is a life’s work waiting there to be heard.”.
Bref, faut s'y replonger sérieusement.

[Erwann]

À lire (en anglais) sur Pitchfork, une longue analyse des liens entre Bowie et la SF.