Aie aie aie... l'avis d'Artemus Dada / Ici, je suis ailleurs.
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Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
- Thomas Day
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Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Pierre-Paul Durastanti a écrit :Chez Albédo.
(qui aime bien, loue la traduction "invisible" et applique ce terme au traducteur...)
Mais, c'était un compliment, Pierre-Paul!
J'ai gommé la poudre d'invisibilité.
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Lutin a écrit :Mais, c'était un compliment, Paul!
Je sais mais j'ai le droit de râler parce que je suis invisible, quand même. Ça n'a pas que des avantages. ;)
Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Pierre-Paul Durastanti a écrit :Lutin a écrit :Mais, c'était un compliment, Paul!
Je sais mais j'ai le droit de râler parce que je suis invisible, quand même. Ça n'a pas que des avantages. ;)
Je comprends, c'était peu maladroit de mentionner Aurélien et pas toi. Tu as bien fait de râler! ;-)
Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Salut à tous,
Mon petit avis vite fait:
Bof.
Ce n'est pas parce qu'on remplit un texte de tas d'idées que ça en fait forcément un bon texte.
Il y a déjà un gros problème de structure, avec un passage introductif suivi d'une digression de contextualisation qui est menée de façon totalement artificielle. Les textes construits comme ça, je les refusais pour Géante Rouge (mais là, on pourra me dire: Géante Rouge, c'est de la merde :-) ). Cette digression, elle est présentée comme étant une recherche historique personnelle du héros... lequel héros n'apprend rien au passage sur le mode de vie, la sociologie de Vénus. Et le voilà donc qui tombe des nues, plus dizaine de pages plus tard, en apprenant comment on se marie sur cette planète! La dite sociologie, d'ailleurs, est un brin bancale, car elle supposerait qu'il n'y ait qu'un seul enfant par "tresse" pour que les histoires d' "affaires" proposées par Landis fonctionnent.
Bref, non seulement ce n'est déjà pas très crédible, mais en plus c'est raconté sans passion, assez platement.
Dommage.
Désolé.
A+
Patrice
Mon petit avis vite fait:
Bof.
Ce n'est pas parce qu'on remplit un texte de tas d'idées que ça en fait forcément un bon texte.
Il y a déjà un gros problème de structure, avec un passage introductif suivi d'une digression de contextualisation qui est menée de façon totalement artificielle. Les textes construits comme ça, je les refusais pour Géante Rouge (mais là, on pourra me dire: Géante Rouge, c'est de la merde :-) ). Cette digression, elle est présentée comme étant une recherche historique personnelle du héros... lequel héros n'apprend rien au passage sur le mode de vie, la sociologie de Vénus. Et le voilà donc qui tombe des nues, plus dizaine de pages plus tard, en apprenant comment on se marie sur cette planète! La dite sociologie, d'ailleurs, est un brin bancale, car elle supposerait qu'il n'y ait qu'un seul enfant par "tresse" pour que les histoires d' "affaires" proposées par Landis fonctionnent.
Bref, non seulement ce n'est déjà pas très crédible, mais en plus c'est raconté sans passion, assez platement.
Dommage.
Désolé.
A+
Patrice
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