Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
Terminé la partie nouvelles.
Seules Souvenirs de ma mère et Voyage avec l'extraterrestre m'ont plu.
J'étais très curieux de découvrir Trademark mais ce fut un peu la douche froide après
l'enthousiasme débordant qu'avaient suscité la présentation du roman à venir et l'entretien avec son auteur.
Question à destination de ceux qui ont lu ce dernier : est-ce que le registre est le même que celui de la nouvelle ?
Question à destination de Gilles : tu utilises l'adjectif "dément" pour qualifier le roman, prendrais-tu le même pour
qualifier la nouvelle ?
Seules Souvenirs de ma mère et Voyage avec l'extraterrestre m'ont plu.
J'étais très curieux de découvrir Trademark mais ce fut un peu la douche froide après
l'enthousiasme débordant qu'avaient suscité la présentation du roman à venir et l'entretien avec son auteur.
Question à destination de ceux qui ont lu ce dernier : est-ce que le registre est le même que celui de la nouvelle ?
Question à destination de Gilles : tu utilises l'adjectif "dément" pour qualifier le roman, prendrais-tu le même pour
qualifier la nouvelle ?
Modifié en dernier par Aldaran le 09 août 2018 à 16:53, modifié 1 fois.
Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
Aldaran a écrit :Question à destination de ceux qui on lu ce dernier : est-ce que le registre est le même que celui de la nouvelle ?
Oui. Mais paradoxalement, sur 300 pages, on finit vite par s'y faire tant le style est fondé sur des répétitions obsédantes.
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Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
Aldaran a écrit :J'étais très curieux de découvrir Trademark mais ce fut un peu la douche froide après
Même ressenti. C'est passable. À peine. Je m’interroge sur le fait que cette "nouvelle" ne soit pas simplement un hameçon vers le roman (qui serait meilleur dans une forme plus longue car il aurait davantage le temps de développer son univers).
Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
J'étais très curieux de découvrir Trademark mais ce fut un peu la douche froide après
Je n'ai même pas réussi à la terminer. Et c'est dommage, parce que par contre, j'ai beaucoup aimé l'interview de l'auteur.
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
Razheem L'insensé a écrit :Je m’interroge sur le fait que cette "nouvelle" ne soit pas simplement un hameçon vers le roman (qui serait meilleur dans une forme plus longue car il aurait davantage le temps de développer son univers).
Nous, au Bélial', faire des trucs pareils ? Allons. ^^
;)
Re: Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)
Je suis assez convaincu par l'ensemble de ce numéro, ce spécial fictions était une bonne idée !
Concernant les textes, ce sont les deux anglo-saxons qui ont ma préférence : je trouve le Ken LIU magnifique (et d'autant plus bluffant au vu du format) et le Carolyn IVES GILMAN moitié convenu (écriture, intrigue) et moitié génial (idée de SF centrale, "twist" final).
A propos de Léo HENRY, la présentation de la nouvelle évoque une "génération invisible" (ou un truc du genre, je ne l'ai pas sous les yeux). Du coup, je trouve un peu dommage que la critique de Hildegarde ait été publiée directement en ligne alors que l'on trouve dans le cahier critique un certain nombre de livres publiés hors genre et sur lesquels l'avis du critique est mitigé, et dont je trouve donc que l'on aurait pu plus facilement se passer.
Concernant les textes, ce sont les deux anglo-saxons qui ont ma préférence : je trouve le Ken LIU magnifique (et d'autant plus bluffant au vu du format) et le Carolyn IVES GILMAN moitié convenu (écriture, intrigue) et moitié génial (idée de SF centrale, "twist" final).
A propos de Léo HENRY, la présentation de la nouvelle évoque une "génération invisible" (ou un truc du genre, je ne l'ai pas sous les yeux). Du coup, je trouve un peu dommage que la critique de Hildegarde ait été publiée directement en ligne alors que l'on trouve dans le cahier critique un certain nombre de livres publiés hors genre et sur lesquels l'avis du critique est mitigé, et dont je trouve donc que l'on aurait pu plus facilement se passer.
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