Les Derniers Jours du Nouveau Paris, China Miéville

[Soleilvert]

Une démolition …
A moins que la traduction de Nathalie Mège n'ait gommé les imperfections du texte

[rmd]

Bah, quand y'a pas d'intrigue, y'a pas d'intrigue.

[Kalev]

Un poème en prose surréaliste de 200 pages, dans l'absolu, je suis pas contre, pour un pervers comme moi qui se relit régulièrement depuis le lycée ses recueils d'André Breton (bon, plutôt en mode butinage, je le reconnais), ça peut être une expérience radicale intéressante. Par contre, du peu que j'ai compris de la critique de Priest (faut vraiment que je me mette à l'anglais), Miéville utiliserait des œuvres surréalistes existantes ? J'avoue que je ne vois guère l'intérêt de la démarche, quand le surréalisme permet une invention totale. Autant se relire Francis Berthelot où, luxe suprême, il y a des intrigues, passionnantes au demeurant.

[Gromovar]

Jamais trouvé le courage de l'attaquer.

[Nébal]

Effectivement, ça ne fonctionne pas. Décevant...

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