Albin Michel Imaginaire

[Herbefol]

Bof. J'avoue que pour l'instant aucune des couvertures de la collection ne m'a paru emballante. C'est un peu son point faible, de mon point de vue.

[yogo]

A la vue des premières couvertures je me faisais exactement la même réflexion et au fur et à mesure je trouve que la collection a "de la gueule". Je trouve les couv' toutes différentes et en même temps il y a une harmonie agréable. Au final, ça le fait, c'est identifiable !

[Le chien critique]

les couvertures ne m'emballent pas plus que cela non plus, mais c'est rarement le cas de toute manière.
Et puis j'attends de voir les livres physiquement pour avoir un avis plus affiné.
Mais comme le dit Yogo et GD, sur un présentoir, la griffe Albin Michel Imaginaire sera reconnaissable au premier coup d'oeil. En terme de marketing, ça se tient.

[Lutin]

Je vais être dissonnante, je les apprécie ces couvertures. Elles ont une identité visuelle marquée et reconnaissable, sobre et élégante. Je ne vais pas dire que c'est un coup de coeur, mais j'aime bien.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Comme je recevais beaucoup de demande à ce sujet... Un petit topo sur notre politique numérique...

GD

[yogo]

Comme je recevais beaucoup de demande à ce sujet... Un petit topo sur notre politique numérique...

GD

Voilà une bonne nouvelle pour les fans de l'Imaginaire. Merci Gilles.

Maintenant chez Albin Michel, il va y avoir un sacré grand écart entre Amélie Nothomb et ces 21 000 mots des Prénoms épicènes à 11,99€ et les 180 000 mots d'Anatem de Neal Stephenson pour 12,99€.

Reste à espérer que Stephenson se vende aussi bien que Nothomb.

[M]

Ca c est une bonne nouvelle. Ca me permettra d acheter les 3 livres au lancement. Sinon il aurait fallu choisir.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Reste à espérer que Stephenson se vende aussi bien que Nothomb.

J'allais écrire qu'on se contentera aisément d'un cinquième des ventes, mais renseignement pris, un dixième ce serait déjà très bien...

GD

[Le chien critique]

Voilà une bonne nouvelle. Comme quoi, impossible n'est pas Dumay !

Je me rappelle un temps où tous les directeurs de collection des grosses maisons clamaient haut et fort, à leur corps défendant, que ce n'était pas de leur fait, les prix élevés et les DRM, mais les contrats, surtout avec les agents étrangers, étaient comme ils étaient.... C'est beau les discours institutionnels, ça me met souvent la larme à l'oeil.

Content que les DRM s'envolent, j'ai eu peur que AMI craque pour la nouvelle solution LCP readium, qui reste une protection.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Je me rappelle un temps où tous les directeurs de collection des grosses maisons clamaient haut et fort, à leur corps défendant, que ce n'était pas de leur fait, les prix élevés et les DRM, mais les contrats, surtout avec les agents étrangers, étaient comme ils étaient.... C'est beau les discours institutionnels, ça me met souvent la larme à l'oeil.

Pour l'avoir vécu une paire d'années chez Gallimard / Denoël, je peux t'assurer que ce n'était pas de mon fait. J'ai essayé à X reprises de faire changer les choses, sans aucun succès notable.

Et pour commencer à peine à comprendre comment fonctionne Albin Michel, je peux aussi t'assurer que ça n'a pas été simple. Je ne me suis pas assis devant tout le monde pour leur dire : "moi chef, ça sera comme ça".
Rendons à césar ce qui appartient à césar, David Queffelec, surtout, et moi avons manœuvré / martelé pendant des mois, presque jusqu'à la dernière minute pour le watermarking et la politique tarifaire. Au final, c'est Alexis Esménard, directeur du groupe Albin Michel (et aussi responsable du développement numérique) qui a tranché et il m'a encore rappelé hier que cette politique de prix numérique n'était pas sans conséquences, notamment sur la hiérarchie des médias (Grand format --> poche).

C'est lui le chef, moi je suis l'exécuteur. Ou l'exécutant, je sais plus.

GD