C est fou ces personnes qui refusent la discussion des que les désaccords arrivent.
C est le but du forum : échanger.
Intérêt et limites de la Taxonomie en SF
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
Et sinon, c'est quoi le minuscule dessin en bas de la page 41?
JDB
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
ubikD a écrit :On va peut-être demander à un modérateur d'ouvrir un autre fil pour y causer de l'intérêt et des limites de la Taxonomie afin de ménager Stephen Baxter?
Ça serait pas mal en effet, il y a maintenant plus de posts sur la taxonomie que sur Retour sur Titan.
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
ubikD a écrit :On va peut-être demander à un modérateur d'ouvrir un autre fil pour y causer de l'intérêt et des limites de la Taxonomie afin de ménager Stephen Baxter?
Voilà qui est fait !
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
Erwann a écrit :ubikD a écrit :On va peut-être demander à un modérateur d'ouvrir un autre fil pour y causer de l'intérêt et des limites de la Taxonomie afin de ménager Stephen Baxter?
Voilà qui est fait !
Bon, alors je vais répéter ma question, qui n'a rien à voir avec la taxonomie, dans le fil dédié à Retour sur Titan.
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
Rémi a écrit :( Au tout début, je voulais juste dire que le bouquin de Stephen Baxter était plutôt fun, avec une course à 100 à l'heure dont-je-ne-dis-rien-car-elle-est-au-milieu-du-livre; et ça débouche sur des mots comme "épistémologie", "taxonomie", "émique" et "heuristique".
J'en viendrai presque à culpabiliser !! )
Surtout pas. Je me suis bien amusée et j'ai appris aussi un ou 2 trucs.
Mes 2 cents, car faut bien participer, (j'honore ainsi l'esprit de Coubertin).
...cela dépend, finalement, du public cible. Je suis certaine qu'à un novice tu ne proposeras certainement pas un super livre de science-fantasy, dystopique, et Terre mourante. ET je pense que ton client ne sait même pas ce qu'est un prix Hugo.
En revanche, personnellement, une précision sur le genre du livre m'importe beaucoup.
Un livre de Sf, soit. Mais si tu me vends un livre de SF Young Adult dystopique et d'apprentissage, je risque de faire un peu la gueule. (une éniéme copie de Divergente, ne fait pas rêver. Du tout. Tandis que La 5° saison, je m'éclate).
Une précision sur le genre, l'esprit et l'ambiance est important, car les envie varient, ce n'est pas forcément pour bannir tout un genre de manière "despotique" (quoi, qu'avec la bit-lit... ou la paranormal romance....), mais se sentir une hamonie entre notre humeur et ce que propose le livre.
A mes amis, je ne recommande pas un livre de tel genre ou sous genre, avec de multiple précisions s'ils veulent découvrir la SFFF. Je leur demande quel type d'histoire ils aiment, ambiance, et personnages.
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
Lutin a écrit :Je leur demande quel type d'histoire ils aiment, ambiance, et personnages.
Ce qui, à mon sens, est beaucoup plus adapté que de filer un roman que je considère "bon".
Parce que le "bon" peut ne plus l'être aux yeux de l'autre.
Re: Intérêt et limites de la Taxonomie en SF
ubikD a écrit :Running gag Erwann ^^
M'ai trompé d'endroit. C'est corrigé.
Re: Retour sur Titan, Stephen Baxter (août 2018)
Rémi a écrit :L'immense majorité des gens ne savent pas ce que "hard-sf" ou "sense of wonder" signifient.
Par là, je veux dire que les éditeurs et les lecteurs de SF jargonnent trop, et cela rend le genre encore plus inaccessible.
C'est tout ce que je voulais dire.
Je remonte ce topic et cite votre message puisque malgré mon appétence pour la SF, j'ai parfois du mal à saisir la véritable définition du sense of wonder. Quand je pense à l'Univers, à l’Évolution, à tout ce qui nous entoure, notre environnement, le microsome, la physique quantique et j'en passe, je suis dans le sense of wonder. Tout ce qui me dépasse. Et ce sentiment est encore plus fort quand je n'y comprends rien. Quand un texte me largue (dans le bon sens), quand on me plonge pleinement dans un paradigme radicalement différent. Mais, à mon sens et donc d'un point de vue vraiment subjectif, je ressens aussi ce sense of wonder dans certains romans de fantasy, ou de Jack London et Cormac Mccarthy (pour ne citer qu'eux). Mais je pense être à côté de plaque et confondre le sense of wonder avec le fameux sentiment "océanique".
Je trouve qu'il y a des similitudes, des parallèles à faire entre ces deux émotions fortes et indicibles. Je vois sur le net que le sentiment d'émerveillement est très lié à la SF, en particulier Hard SF, mais je me demande si l'on doit mettre des cases pour ce genre de ressentis finalement très personnel (je connais des gens à ça ne fait rien du tout / ou bien peur et ils veulent en finir, donc ils ne sont pas indifférents, mais hors d'un quelconque émerveillement). Les différences que je vois entre l'océanique et le wonder, c'est tout simplement que le premier est connoté plus positif que l'autre. L'océanique ne fait pas peur et entraine même la plénitude, alors que le wonder peut effrayer (en effet, avec le premier on se sent appartenir à un tout, alors qu'avec le wonder, même si cela peut aussi être le cas, on se sent surtout "noyé", comme une broutille perdue et inutile dans le grand Tout).
En fait, je vois une autre différence : les domaines. Le premier est plus religieux, le second plus scientifique.
Des volontaires pour m’expliquer un peu tout ça ?
Retourner vers « Toute l'actu »