À huit mains (façon poulpe, en fait), on a mis ce matin un gros millier de Bifrost 93 sous pli en à peine trois heures — record de vitesse battu.
Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Bifrost est beau, les cartons sont beaux, vous êtes beaux et même le carrelage est beau. J'attends le facteur !
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Ma boîte aux lettres geint d'impatience.
Bug : Sur https://www.belial.fr/revue/bifrost-93, je lis :
Mais voilà, Theodore Sturgeon c'était le Bifrost 92 ! Je suis à peu près sûr que ce bug a disparu de la version papier mais qu'on le trouve encore (provisoirement ?) sur la version électronique, vu que ce genre de chronopataques y est assez fréquent, comme si un numéro s'accrochait, refusant de disparaître.
Bug : Sur https://www.belial.fr/revue/bifrost-93, je lis :
Bibliographie des œuvres de Theodore Sturgeon, par Alain Sprauel
Mais voilà, Theodore Sturgeon c'était le Bifrost 92 ! Je suis à peu près sûr que ce bug a disparu de la version papier mais qu'on le trouve encore (provisoirement ?) sur la version électronique, vu que ce genre de chronopataques y est assez fréquent, comme si un numéro s'accrochait, refusant de disparaître.
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
1dcd1d100 a écrit :Ma boîte aux lettres geint d'impatience.
Bug : Sur https://www.belial.fr/revue/bifrost-93, je lis :Bibliographie des œuvres de Theodore Sturgeon, par Alain Sprauel
Mais voilà, Theodore Sturgeon c'était le Bifrost 92 ! Je suis à peu près sûr que ce bug a disparu de la version papier mais qu'on le trouve encore (provisoirement ?) sur la version électronique, vu que ce genre de chronopataques y est assez fréquent, comme si un numéro s'accrochait, refusant de disparaître.
Patience ! On vient juste de déposer les 1051 exemplaires du Bifrost 93 à la Poste…
La coquille sur l'intitulé de la bibliographie ne concerne que le site, heureusement ;-) (et c'est corrigé).
- Lorhkan
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Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
But I also fielded a lot of questions no one had asked in twenty years of author interviews.
Voilà qui doit faire plaisir à l'intervieweur. ;)
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Lorhkan a écrit :But I also fielded a lot of questions no one had asked in twenty years of author interviews.
Voilà qui doit faire plaisir à l'intervieweur. ;)
L'intervieweur est ravi à plus d'un titre ^^
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Erwann, un révélateur de l'intérêt de la merde et du dysfonctionnement.
Visiblement, ça c'est nettement mieux passé qu'avec Egan.
Watts, (le futur du chocolat, donc) a l'air ravi de cet entretien et de la manière dont il a été mené. Bravo !
Visiblement, ça c'est nettement mieux passé qu'avec Egan.
Watts, (le futur du chocolat, donc) a l'air ravi de cet entretien et de la manière dont il a été mené. Bravo !
Re: Bifrost n° 93 : dossier Peter Watts (janvier 2019)
Acheté ce matin à la Librairie Bédéciné.
Feuilleté en rentrant chez moi, puis attaqué l'interview de Peter Watts. Passionnant. Bravo à Erwann pour ses questions et sa traduction.
Merci à Org pour son gentil faire-part de la collection "Baskerville". Toutefois, précision et corrections.
"Un livre traduit tous les deux mois depuis 2011, soit une quarantaine de bouquins." Pas tout à fait. Au tout début, je pensais pouvoir insister sur les inédits (ou les nouvelles traductions de bouquins massacrés), en espérant convaincre des traducteurs.trices amis.es de se lancer dans divers projets, mais la faiblesse des ventes a fait hésiter les confrères.soeurs que j'ai contacté.es, et, comme de mon côté, je n'avais tout simplement pas le temps de traduire un "Baskerville" tous les deux mois (ce qui ne me rapportait rien--et même, si je compte comme frais l'achat d'éditions d'époque de livres non disponibles gratis sur internet, me faisait perdre de l'argent), je me suis résolu à publier de plus en plus de traductions révisées, à partir de documents récupérés sur gallica ou en achetant les éditions d'époque (d'où frais supplémentaires, parce que c'est pas donné, ces petites choses).
Bref, si j'ai renoncé, c'est parce que je perdais de l'argent à chaque nouvelle parution. Je ne m'attendais pas à gagner autant qu'en traduisant Ken Follett pour Laffont, mais faut être lucide.
Merci donc aux traductrices--eh ouais, que des meufs-- qui ont accepté de jouer le jeu, pour des raisons tout sauf mercenaires: Alice Ray, qui a traduit un inédit de E.W. Hornung (Docteur Crime) et a révisé une traduction du même, L'Ombre de la Corde, que j'ai dénichée par hasard; à Aurélie Bescond, qui a traduit et autopublié en numérique Flaxman Low -- Expériences spectrales, que j'ai publié en version papier chez Rivière Blanche en travaillant avec elle sur la traduction, et à Alice Blouin, ma nièce -- scoop! -- qui voulait enrichir ses études universitaires en faisant de la traduction et s'est occupée des inédits de La Main de singe, sous ma supervision.
J'aurais pu aller plus loin. Par exemple, c'est indépendamment de mes recherches que Lionel Evrard a découvert Dorcas Dene, lady detective, créée par George R. Sims, que j'avais mise dans mon collimateur. Il a eu l'élégance de me consulter avant de traduire la première de ses enquêtes, parue dans le dernier numéro du Novelliste, et--avant de décider d'arrêter les frais--je lui avais dit que j'envisageais de l'inscrire au programme de "Baskerville" et que je serais ravi de le faire si c'était lui plutôt que moi qui portait le bouquin.
Mais bon.
Comme je crois l'avoir dit par ailleurs, "Baskerville" souffrait d'un handicap insurmontable, à savoir l'invisibilité. Dans son édition papier, aucun livre n'a atteint les 100 exemplaires vendus.
Cela dit, je n'ai pas totalement renoncé: j'ai commencé à explorer l'œuvre d'un auteur de la même époque, pas strictement policière, et en ai parlé à un éditeur ami très ouvert, qui m'a encouragé à creuser ce sillon. Pour l'instant, je n'ai pas le temps de m'en occuper--deux traductions à relire, pas de moi, une autre, de moi, et des épreuves à corriger, d'une de mes traductions, le tout pour le Bélial' qui s'est assuré mon exclusivité pour un pont d'or--nan, j'déconne--et je suis pas mal occupé pour les semaines à venir.
Sic transit gloria mundi! Amen!
JDB
Feuilleté en rentrant chez moi, puis attaqué l'interview de Peter Watts. Passionnant. Bravo à Erwann pour ses questions et sa traduction.
Merci à Org pour son gentil faire-part de la collection "Baskerville". Toutefois, précision et corrections.
"Un livre traduit tous les deux mois depuis 2011, soit une quarantaine de bouquins." Pas tout à fait. Au tout début, je pensais pouvoir insister sur les inédits (ou les nouvelles traductions de bouquins massacrés), en espérant convaincre des traducteurs.trices amis.es de se lancer dans divers projets, mais la faiblesse des ventes a fait hésiter les confrères.soeurs que j'ai contacté.es, et, comme de mon côté, je n'avais tout simplement pas le temps de traduire un "Baskerville" tous les deux mois (ce qui ne me rapportait rien--et même, si je compte comme frais l'achat d'éditions d'époque de livres non disponibles gratis sur internet, me faisait perdre de l'argent), je me suis résolu à publier de plus en plus de traductions révisées, à partir de documents récupérés sur gallica ou en achetant les éditions d'époque (d'où frais supplémentaires, parce que c'est pas donné, ces petites choses).
Bref, si j'ai renoncé, c'est parce que je perdais de l'argent à chaque nouvelle parution. Je ne m'attendais pas à gagner autant qu'en traduisant Ken Follett pour Laffont, mais faut être lucide.
Merci donc aux traductrices--eh ouais, que des meufs-- qui ont accepté de jouer le jeu, pour des raisons tout sauf mercenaires: Alice Ray, qui a traduit un inédit de E.W. Hornung (Docteur Crime) et a révisé une traduction du même, L'Ombre de la Corde, que j'ai dénichée par hasard; à Aurélie Bescond, qui a traduit et autopublié en numérique Flaxman Low -- Expériences spectrales, que j'ai publié en version papier chez Rivière Blanche en travaillant avec elle sur la traduction, et à Alice Blouin, ma nièce -- scoop! -- qui voulait enrichir ses études universitaires en faisant de la traduction et s'est occupée des inédits de La Main de singe, sous ma supervision.
J'aurais pu aller plus loin. Par exemple, c'est indépendamment de mes recherches que Lionel Evrard a découvert Dorcas Dene, lady detective, créée par George R. Sims, que j'avais mise dans mon collimateur. Il a eu l'élégance de me consulter avant de traduire la première de ses enquêtes, parue dans le dernier numéro du Novelliste, et--avant de décider d'arrêter les frais--je lui avais dit que j'envisageais de l'inscrire au programme de "Baskerville" et que je serais ravi de le faire si c'était lui plutôt que moi qui portait le bouquin.
Mais bon.
Comme je crois l'avoir dit par ailleurs, "Baskerville" souffrait d'un handicap insurmontable, à savoir l'invisibilité. Dans son édition papier, aucun livre n'a atteint les 100 exemplaires vendus.
Cela dit, je n'ai pas totalement renoncé: j'ai commencé à explorer l'œuvre d'un auteur de la même époque, pas strictement policière, et en ai parlé à un éditeur ami très ouvert, qui m'a encouragé à creuser ce sillon. Pour l'instant, je n'ai pas le temps de m'en occuper--deux traductions à relire, pas de moi, une autre, de moi, et des épreuves à corriger, d'une de mes traductions, le tout pour le Bélial' qui s'est assuré mon exclusivité pour un pont d'or--nan, j'déconne--et je suis pas mal occupé pour les semaines à venir.
Sic transit gloria mundi! Amen!
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
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