Nouvelles, Jack Vance

[Pierre-Paul Durastanti]

Erf, oui, il semble bien qu'on ne dise que "catalogue d'étoiles". J'ai voulu trop en faire, snif.

Edit : ah, mais non, j'ai retrouvé l'expression sur le site du CNRS.

[JDB]

Erf, oui, il semble bien qu'on ne dise que "catalogue d'étoiles". J'ai voulu trop en faire, snif.

Edit : ah, mais non, j'ai retrouvé l'expression sur le site du CNRS.

Arf, j'ai même pas regardé. J'ai pensé au "catalogue des navires" dans l'Iliade, tout simplement.
JDB

[Erwann]

Sonnez zachinkos, résonnez hymerkins : c'est donc aujourd'hui que ce deuxième volume de l'intégrale des nouvelles de Jack Vance est officiellement disponible !
Un peu de patience pour la version numérique : c'est du gros boulot et ce sera prêt (sans blagues normalement) le 1er avril.

[Calambredaine]

Il sera dans ma bibliothèque samedi (s'il en reste dans ma librairie)

[Pierre-Paul Durastanti]

Sous la plume de Bastien Roche, ActuSF a bien craqué sur le tome 1. C'est par ici.

[Erwann]

L'intégrale des nouvelles de Jack Vance est disponible en numérique depuis aujourd'hui.

[JDB]

Fini le tome 1.
Impression mitigée. Il y a là-dedans de vraies pépites, mais...
Dans son livre sélectionné au Hugo, Alex Nevala-Lee dit de Leigh Brackett: "Elle faisait preuve d'un rare talent pour transposer les conventions d'autres genres--le western, l'histoire de guerre--en termes de science-fiction..."
Eh bien, pour Jack Vance, c'est pareil, sauf que sa référence était le polar US années 50 (les premières "Série Noire" pour nous autres Français). Dans quantité de textes, on trouve un canevas, des tropes, des clichés recyclés (redupliqués, eût dit Boris Eizykman) en termes de SF: le héros dépassé par les événements, les magouilles autour d'une source de richesses, le caïd à la fois homme d'affaires et ponte de la pègre, la femme fatale, etc.
A tel point que moi, qui visualise les histoires en les lisant, je me suis souvent aperçu que je les visualisais en noir et blanc et non en couleur, avec dans les rôles principaux: Kirk Douglas, Burt Lancaster, Alan Ladd, Richard Widmark (lui, il faisait parfois le méchant), Gary Cooper ou James Stewart (pour les personnages les plus déboussolés, comme le héros des Maisons d'Iszm), et Peter Lorre, Sidney Greenstreet et Ted DeCorsia en méchants.
D'ailleurs, sans déprécier en rien la splendide couverture panoramique de Guillaume Sorel, je me suis demandé ce qu'aurait donné cette intégrale avec une cover de Jean-Claude Claeys période "NéO/Le Miroir obscur"...
Alors, en attendant d'aborder le volume 2, mon avis circonstancié: travail d'édition irréprochable, livre riche d'enseignements. Si vous êtes un Vancien de longue date, vous savourerez l'expérience--Vance fait sans doute partie de ces auteurs qui demandent à être lus plutôt qu'à être relus. Si, comme moi, vous n'avez jamais été vraiment accro, vous apprécierez aussi--mais je vous conseille de déguster la chose à petites doses.
JDB

[Olivier Girard]

Télérama parle de Jack Vance et donc, de l'intégrale des nouvelles (mais pas que). Ici.

[Mirafa]

Je me suis pris cette magnifique intégral des nouvelles, par contre vu le pavé je me le suis pris aussi en numérique complément indispensable pour les vacances.

[Pierre-Paul Durastanti]

Je me suis pris cette magnifique intégral des nouvelles, par contre vu le pavé je me le suis pris aussi en numérique complément indispensable pour les vacances.

Bien, bien. Tout se déroule selon nos plans. Mwahahaha !