Olivier Girard a écrit :Aldaran a écrit :Je suppose que c'est surtout soumis à la longueur de la fiction publiée ?
Oui. Et aussi à la pertinence ponctuelle du procédé. En l'état, le texte de Thompson est si riche qu'il m'a semblé intéressant de laisser s'exprimer l'auteur sur ladite richesse. Après avoir lu cet entretien en VO, il était évident qu'on devait le faire figurer en fin de volume. Mais cette évidence n'est à mon sens pas toujours aussi manifeste.
Alors je vote des deux mains pour que ce soit refait.
Tout le monde (au risque de me tromper), va entendre un « truc qui cause du SIDA » en lisant ce truc (Les Meurtres).
Sauf que, si j'en crois ce qu'en dit l'auteur... non. Même si l'interprétation se tient... non.
JDB, merci pour le détail, c'est kiffant.
Plutôt que des « non-dits », j'ai vu ça comme une invitation à cogiter (ce que j'appelle un os à ronger, et ils sont plusieurs ici),
ce que confirme (selon moi) l'auteur lui-même en invitant à tuer les auteurs une fois qu'ils ont pondu leur texte.
(Pardon, vous (le forum) êtes le dernier bar de ma tournée du vendredi soir... après « normale », vous pouvez reprendre une activité normale.)