Diaspora, Greg Egan (mai 2019)

[Calambredaine]

Bah j'ai craqué: j'lai acheté.
Rien que le 4eme de couv qui place le décor du point de départ pourrait faire un roman à lui tout seul. Le voyage risque d'être exotique.
voilà ce que ça donne

[Apophis]

Entre Tau Zero et le cycle des Xeelees, le placement est tout simplement parfait ;)

[Calambredaine]

Et derrière se cache la Hanse Galactique :)

[Olivier Girard]

Une bien belle bibliothèque, Calembredaine… ;-)

[Calambredaine]

Merci m'sieur!
J'arrive au bout du rayon. Je me demande où placer les suivants...

[Aldaran]

J'arrive au bout du rayon. Je me demande où placer les suivants...

[Erwann]

Diaspora dans la Salle 101, à partir de 12'.

[Erwann]

L'avis de la librairie Obliques à Auxerre.

[Olivier Girard]

Réassorts/commandes expédiés par la Sodis hier : 21 exemplaires.
Réassorts/commandes expédiés par la Sodis aujourd'hui : 38 exemplaires.
Jusqu'ici, tout va bien… Diaspora amorce sa diaspora (oui, je sais, bon… en même temps, il est 9h48…)

[Tarann]

Voilà, lecture terminée, avec cette fin qui donne sacrément le vertige. J'ai bien aimé le bouquin même si tout ne m'a pas plu.

Certains chapitres sont incroyables: Orphanogénèse est peut-être l'un des moments les plus forts de la SF. Le chapitre consacrés aux tapis de Wang est aussi vertigineux. La fin elle-même ne laisse pas insensible.

Cependant, j'ai un peu l'impression que le livre est soit trop court, soit trop long. Si je reprends le chapitre sur les tapis de Wang, je m'attendais à plus de développement de la part d'Egan. J'aurais aussi aimé un peu de lignes consacrées aux relations avec les enchairés/gleisners même si je comprends que ce n'est pas le cœur du roman et la fin arrive un peu rapidement à mon goût.
D'un autre côté, je me dis qu'une grosse nouvelle aurait pu mieux convenir.

Ça n'en reste pas moins un livre hyper impressionnant qui fait bien chauffer le cerveau, je n'avais jamais lu quelque chose de cette ampleur ! Va falloir que j'aille lire quelque chose de plus léger histoire d'éviter la surchauffe.

Ce que je trouve intéressant chez Egan, c'est qu'après avoir lu trois de ses écrits (Uncanny Valley, Cérès et Vesta et Diaspora), j'ai toujours du mal à me représenter le style de l'auteur.