La Hanse galactique (cycle), de Poul Anderson

[JDB]

Yesssss!
Je l'attends avec impatience.
Et, comme dit plus haut, pas impossible que je m'attaque vite à la suite et (?) fin.
C'est vrai, j'ai plus rien à foutre--je vous raconte pas les trads que j'ai refusées pour faire place aux petits jeunes (ou pas: on m'a fait une offre princière pour laquelle j'ai recommandé un vieux pote), mais Poul Anderson = chasse gardée.
Et soit le projet perso (hors SF) sur lequel je bosse depuis quelques mois--et que je n'arrête pas d'élargir--se concrétise, soit il s'effondre... bref, je n'ai pas dit mon dernier mot.
Cela dit, ledit projet exige de moi que je me documente sur l'alpinisme au XIXe siècle et autres joyeusetés. C'est pas gagné.
JDB

[Apophis]

Je suis en plein dedans. Et comme d'habitude, les jurons de Van Rijn me font mourir de rire. "Des subordonnés au péristaltisme inversé", quel trait de génie !

[JDB]

Je suis en plein dedans. Et comme d'habitude, les jurons de Van Rijn me font mourir de rire. "Des subordonnés au péristaltisme inversé", quel trait de génie !

A tout seigneur, tout honneur, je crois que cette vanne (euh... non, rien) m'a été inspirée par une expression favorite de notre Homme des bois préféré, qui, si l'on y réfléchit bien, n'est pas sans présenter des aspects vanrijniens.
JDB

[JDB]

Reçu mes exemplaires. Il est vraiment très beau. Bravo à Nicolas Fructus!
JDB

[JDB]

Le Monde de Satan chez Apophis.
Oui, fascinante, cette histoire d'"îlot de stabilité". Mais, comme je le dis en note (sans trop m'étendre), bien des espoirs ont été déçus depuis la parution de ce roman.
JDB

[Erwann]

L'avis d'ActuSF sur Les Coureurs d'étoiles.

[Erwann]

Quatrième volet de la Hanse galactique, Le Monde de Satan est dès à présent disponible, en papier comme en numérique, dans toutes les bonnes librairies du système solaire.

[Erwann]

L'avis déçu de Nébal.

[JDB]

L'avis déçu de Nébal.

Déçu mais passionnant. Quarante ans plus tard, l'ami Nébal a les mêmes réactions que les critiques de droite (Lester del Rey) ET de gauche (Joanna Russ) vis-à-vis de ce cycle. (Je ne cite que pour mémoire Jean-Pierre Andrevon, qui n'a pas eu accès à la totalité dudit cycle.)
Poul Anderson est essentiellement pessimiste. Selon lui--et la postface au Crépuscule de la Hanse précisera sa pensée--, toute société humaine, sauf accident de l'Histoire, est condamnée à l'anéantissement, faute d'avoir résolu à temps des contradictions inhérentes à son fonctionnement.
Pour résumer sa pensée, s'il est un farouche partisan de la libre-entreprise, il n'en a pas moins conscience que ce système peut être aisément corrompu et déboucher sur une ploutocratie. En fait, toute idéologie nécessite pour aboutir au paradis sur Terre que nous soyons tous honnêtes et loyaux. Ce n'est pas gagné.
Il précise dans ladite postface que la société étatsunienne ne durera pas au-delà de 2050 environ; et il envisageait dès 1979 (date de rédaction de ladite postface) l'apparition d'un islamisme renaissant.
Évidemment, ceci n'était pas apparent lors de la rédaction des épisodes successifs. Il a d'abord rédigé des histoires d'aventures un peu provoc, puis s'est rendu compte qu'il pouvait les sous-tendre d'un discours plus grave. Tout en étant (je m'en rends compte à mesure que je traduis la série) limité par les contraintes de taille auxquelles était soumise la SF avant Star Wars. A ce titre, Le Crépuscule de la Hanseest frustrant: en édition française, il aura le même nombre de pages que les volumes précédents, alors qu'il s'y passe tant de choses qu'il aurait mérité d'en avoir 1/2 fois plus.
Et je ne vous raconte pas The People of the Wind, la suite logique du cycle, que je compte "vendre" au Big Boss. (Scoop!)
JDB

[Apophis]

Et je ne vous raconte pas The People of the Wind, la suite logique du cycle, que je compte "vendre" au Big Boss. (Scoop!)
JDB

J'espère que tu réussiras ;)