Terminus de Tom Sweterlitsch dans l'émission du 13 juin 2019 de la salle 101.
GD
Terminus, Tom Sweterlitsch
- Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire
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Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
Pierre-Paul Durastanti a écrit :Mélie a écrit :Et je ne suis pas non plus intimidée : je suis en train de découvrir ici tout un monde dont je ne me préoccupais pas auparavant.
Ça c'est cool. C'est un peu l'idée, d'ailleurs, mais c'est cool.
Mélie, on est des vieux sales gosses et, de temps en temps, on a besoin de gens comme toi pour nous remettre les idées en place.
Alors lâche-toi et montre-nous nos manques, ça ne peut que nous être utile.
Par exemple nous pousser à lire/traduire/publier des auteurs.trices qu'on n'aurait jamais pensé à aborder de nous-mêmes.
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
JDB a écrit :Par exemple nous pousser à lire/traduire/publier des auteurs.trices qu'on n'aurait jamais pensé à aborder de nous-mêmes.
David Zindell et son monument de Hard SF incroyablement visionnaire qu'est Inexistence ?
Mike McQuay et le magistral Mémoire, ou un chef-d'oeuvre de traitement de la psychologie des personnages ?
Jy Yang et l'ultra-progressiste The black tides of Heaven ?
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
Apophis a écrit :David Zindell et son monument de Hard SF incroyablement visionnaire qu'est Inexistence ?
Mike McQuay et le magistral Mémoire, ou un chef-d'oeuvre de traitement de la psychologie des personnages ?
Jy Yang et l'ultra-progressiste The black tides of Heaven ?
Inexistence, lu à l'époque en anglais, bon souvenir--mais ça a été traduit. Mémoire, idem.
Jy Yang, je connais pas. Merci.
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
PS: Cela dit, entre les textes anglo-saxons que j'estime géniaux et à traduire d'urgence, et ce que le marché français peut accepter, il y a quand même une grosse marge. Et quand j'arrive à mener à bien un projet qui me tient particulièrement à coeur, y a parfois que 37 ou 43 lecteurs intéressés.
And so it goes.
JDB
And so it goes.
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
JDB a écrit :Inexistence, lu à l'époque en anglais, bon souvenir--mais ça a été traduit. Mémoire, idem
Oui, je sais bien Jean-Daniel, je les ai lus tous les deux en français. Mais ils ne sont plus réédités depuis longtemps (1994 pour Mémoire, par exemple).
Bon, alors disons House of suns d'Alastair Reynolds. Celui-là n'a jamais été traduit, et il y a de quoi attirer quelques milliers de lecteurs.
- FeydRautha
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Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
Salut, je passais par là et je suis tombé sur un paquet de lettres en vrac. Voilà, je vous les pose là, on sait jamais si ça parle à quelqu'un.
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s u m m e r l a n d h a n n u r a j a n i e m i
"Scientifiquement, c'est un immense bordel la réalité."
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
J'étais persuadé qu'il avait été acheté, celui-là.
Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
Mais vous êtes tous anglophones ? Vous lisez en vo, et vous ne passez jamais à côté d'un truc, d'une nuance ?
- Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire
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Re: Terminus, Tom Sweterlitsch
Terminus de Tom Sweterlitsch dansLle Cargo ! - webzine musical.
J'adore ce passage de la critique :
" Moss n’est pas une héroïne sans saveur, une allégorie, mais une créature d’esprit, ingénieux, déterminé mais aussi de chair, qui a ses désirs, ses failles, qui se trompe parfois, qui est à la fois la fille "typique" des suburbs américains qui aurait pu finir comme sa mère à bosser dans le télé-marketing et une superwoman digne de Dana Scully qui est son modèle dans le livre. Elle est consciente de sa propre beauté et elle a peur en même temps de ce que son amant pensera de l’odeur due à sa prothèse. "
GD
J'adore ce passage de la critique :
" Moss n’est pas une héroïne sans saveur, une allégorie, mais une créature d’esprit, ingénieux, déterminé mais aussi de chair, qui a ses désirs, ses failles, qui se trompe parfois, qui est à la fois la fille "typique" des suburbs américains qui aurait pu finir comme sa mère à bosser dans le télé-marketing et une superwoman digne de Dana Scully qui est son modèle dans le livre. Elle est consciente de sa propre beauté et elle a peur en même temps de ce que son amant pensera de l’odeur due à sa prothèse. "
GD
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