La Fleur de Dieu, Jean-Michel Ré

[Rémi]

Je pense que le peu de blogueurs qui lisaient encore les 4e de couverture ont été vaccinés par Actes Sud.

Voilaaaaaa. Je tronque carrément la fin de la phrase et on débouche sur une vérité éternelle et définitive.


Par contre, je m'étonne que le choix n'ait pas été fait, pour la fleur de dieu, de mettre le glossaire en note de bas de page. Moi je préfère, en général...

[Apophis]

Par contre, je m'étonne que le choix n'ait pas été fait, pour la fleur de dieu, de mettre le glossaire en note de bas de page. Moi je préfère, en général...

La note de bas de page toute seule (par opposition à note de bas de page PLUS glossaire) est une très mauvaise idée. Parce que s'il y a plusieurs occurrences du même terme, le lecteur qui n'a pas retenu sa signification du premier coup va devoir rechercher la page précise où ledit terme était défini. Ce qui est une perte de temps et un facteur d'énervement. Certes, des allers-retours corps du texte / glossaire en fin de livre sont aussi agaçants, mais en revanche, on sait précisément où chercher un terme.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

[Par contre, je m'étonne que le choix n'ait pas été fait, pour la fleur de dieu, de mettre le glossaire en note de bas de page. Moi je préfère, en général...

Impossible, Rémi, l'entrée Concile œcuménique fait 7 pages. Par exemple.
Et l'auteur a conçu sa trilogie avec le glossaire, ce n'est pas quelque chose qu'il aurait ajouté, c'est vraiment constitutif de son projet littéraire.

GD

[Aldaran]

Je pense que le peu de blogueurs qui lisaient encore les 4e de couverture ont été vaccinés par Actes Sud.

Voilaaaaaa. Je tronque carrément la fin de la phrase et on débouche sur une vérité éternelle et définitive.

Ça revient régulièrement sur le tapis, ces quatrièmes qui pourrissent tout.
Un peu comme les préfaces dont on se plaint qu'elle soient placées au début des livres, d'ailleurs.
De mon côté, je continue de les lire (les préfaces et les quatrièmes), elles ont tout de même un sens.
Une différence tout de même : les quatrièmes, je les lis d'un esprit volage, peu attentif.
Je pense qu'elles sont avant tout destinées à être lues comme ça. Mais je peux me tromper.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Je pense qu'elles sont avant tout destinées à être lues comme ça. Mais je peux me tromper.

"Une bonne quatrième c'est une quatrième qui cerne l'ADN d'un livre sans en raconter l'histoire."
C'est du moins ce que j'entends régulièrement chez Albin Michel.
"Rien n'est plus difficile que les 4e de couverture."
Celle-là aussi, je l'entends assez souvent.
J'essaye de limiter mon "résumé" aux infos des quarante premières pages d'un livre ; parfois ce n'est pas possible car le premier nœud scénaristique de l'histoire arrive au premier tiers et qu'avant globalement il n'y a pas de "points à relier", il n'y a pas de problématique qui apparaît.
C'est un exercice de concision, j'essaye de me limiter à 1200 signes, présentation de l'auteur comprise.
Chaque roman est différent et chaque roman appelle a une 4e différente, on ne peut rien systématiser.
La 4e c'est de la PLV (Pour La Vente) ; il y aura toujours des allergiques à la PLV. Pour preuve, les miennes sont validées en dernier lieu par le marketing (qui n'hésite pas à me les renvoyer dans les dents ; enfin moins maintenant que j'ai commencé à comprendre ce qu'ils voulaient / ne voulaient pas).

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

"Seule réserve, pour suivre les 100 premières pages, on doit souvent aller chercher des explications sur l’important glossaire (plus de 40 pages) en fin de volume. Cela nuit au rythme du récit. Mais passé ce cap, La fleur de Dieu vous fera aller loin, très loin dans l’espace infini."

La critique de Michel Litout dans l'indépendant.

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

L’auteur parvient à démontrer comment la religion, la science et la technologie peuvent s’articuler ensemble pour devenir des moyens de domination et de formatage de populations entières, tout en tissant une intrigue prenante.

J’attends la suite de la trilogie !

Les chroniques du chroniqueur...

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Pour l’instant il n’y a pas vraiment de personnages auxquels s’attacher (on ne reste jamais suffisamment longtemps avec eux pour cela) mais le rythme imposé par l’auteur rend l’intrigue prenante, le monde décrit est très intéressant, il nous offre des complots en veux-tu en voilà et je suis vraiment curieuse de découvrir la suite.

Les pipelettes en parlent bien...

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

En résumé, La Fleur de Dieu est un premier tome introductif qui requiert un minimum d'efforts. Malgré quelques défauts, le voyage est beau, bluffant et enivrant !

La Fleur de Dieu dans les lectures du Maki.

GD

[batcheva]

Apparemment, beaucoup des lecteurs de ce roman ont lu Dune. Est-il nécessaire de l'avoir lu avant de commencer La Fleur de Dieu?