M a écrit :Razheem L'insensé a écrit :Surtout que le premier est totalement indépendant en fait, avec une vraie fin. Donc frustration zéro.
Cette réflexion change tout. J en serais du coup.
Biro a écrit :M a écrit :Razheem L'insensé a écrit :Surtout que le premier est totalement indépendant en fait, avec une vraie fin. Donc frustration zéro.
Cette réflexion change tout. J en serais du coup.
Genre le mec qui écrit à 00h00, t'es un robot ou quoi ? ;o)
M a écrit :Biro a écrit :M a écrit :
Cette réflexion change tout. J en serais du coup.
Genre le mec qui écrit à 00h00, t'es un robot ou quoi ? ;o)
Non juste en vacances. Donc si je poste à 00h00 je suis un robot, JDB qui poste parfois à 5h00 du matin il est quoi ? :-)
Aldaran a écrit :M a écrit :Biro a écrit :Genre le mec qui écrit à 00h00, t'es un robot ou quoi ? ;o)
Non juste en vacances. Donc si je poste à 00h00 je suis un robot, JDB qui poste parfois à 5h00 du matin il est quoi ? :-)
Un vieux robot...
Rien dans cette livraison, du reste, ne correspondait aux formulaires qu’il avait remplis. Elle comprenait un butin de choix, un pistolet Mars à poudre noire de la manufacture Gabbet-Fairfax. Avec son acier extra-lourd, lisse et épuré, ce semi-automatique d’une puissance balistique étonnante, proche de celle de la hache ou du marteau, présentait un corps en L d’une laideur et d’une élégance uniques. Le Mars avait été conçu à destination des armées pour une production de masse, mais il était venu au monde au mauvais moment et en dépit du bon sens. Relevant d’un champ de bataille moyenâgeux, il avait suscité une considération similaire à celle qui avait envoyé la cavalerie contre les gaz et les mitraillettes au cours de la Grande Guerre. Il faisait un boucan apocalyptique. Il était capable de stopper un cheval en pleine course. Le recul pouvait vous casser le poignet et vous cracher à la figure des douilles brûlantes. Sa précision théorique n’était jamais atteinte, parce que le tireur, son premier coup de feu parti, tremblait et frissonnait tant au moment de réappuyer sur la détente qu’il ne parvenait plus à viser. C’était le pistolet le plus puissant jamais conçu à la fin du siècle précédent et personne ne voulait jamais s’en servir. On en avait fabriqué moins d’une centaine.
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