La Quête onirique de Vellitt Boe, Kij Johnson (février 2018)

[FeydRautha]

Oui, je suis d'accord, mais alimenter différentes plateformes est très chronophage. Babelio, cela fait un moment que je n'y passais plus par manque profond d'intérêt pour ce que j'y lisais. La blogosphère est autrement plus intéressante. En ce qui me concerne, je touche beaucoup plus de monde avec mon propre blog que sur d'autres sites. Et cela en dehors du cercle habituel puisque la très grande majorité des lectures viennent des moteurs de recherche. Autant se consacrer aux outils les plus efficaces.

[Aldaran]

Wow... C'est du lourd !
(Je lis rarement les critiques de romans que je ne connais pas mais, là, aucun regret, ça valait vraiment le coup !)
Dommage que l'auteur de cette chronique n'indique à aucun moment la manière dont il s'y prend pour s'installer dans l'esprit-même de Kij Johnson afin de savoir mieux qu'elle les idées et intentions qui s'y trouvent. On nage en plein sense of wonder, là.
J'aurais presque l'envie perverse de lire la chronique que ferait cette personne d'Un pont sur la brume, ça pourrait être aussi grandiose !

[Erwann]

Dommage que l'auteur de cette chronique n'indique à aucun moment la manière dont il s'y prend pour s'installer dans l'esprit-même de Kij Johnson afin de savoir mieux qu'elle les idées et intentions qui s'y trouvent .

Je ne sais pas mais, en tous cas, l'auteur de cette critique est une femme.

[Aldaran]

l'auteur de cette critique est une femme.

Oui, j'ai vu ça après. Une femme qui se dit "proprement terrorisée par le Grand Cthulhu". Et qui est donc probablement masochiste puisqu'ayant tout lu de Lovecraft afin de se permettre de critiquer aussi violemment les connaissances qu'en ont d'autres personnes.
Une chose est certaine : la connerie n'est pas genrée. Quelque part, en termes de parité, c'est rassurant.

[Apophis]

Babelio, cela fait un moment que je n'y passais plus par manque profond d'intérêt pour ce que j'y lisais. La blogosphère est autrement plus intéressante. En ce qui me concerne, je touche beaucoup plus de monde avec mon propre blog que sur d'autres sites. Et cela en dehors du cercle habituel puisque la très grande majorité des lectures viennent des moteurs de recherche. Autant se consacrer aux outils les plus efficaces.

Mouais. Sur Babelio, il y a surtout des types comme Alfaric, Fnitter ou d'autres, qui n'ont pas de blog mais pourraient donner des baffes par paquets de douze à n'importe quel blogueur en terme de richesse des critiques.

[Aldaran]

Mouais. Sur Babelio, il y a surtout des types comme Alfaric, Fnitter ou d'autres, qui n'ont pas de blog mais pourraient donner des baffes par paquets de douze à n'importe quel blogueur en terme de richesse des critiques.

Je suis en total accord avec ça.
C'est pour cette raison que rien ne m'énerve plus que de lire « Bifrost a dit » ou « Le Monde littéraire a dit » sur les quatrièmes de couves.
OK, le support accueille certaines personnes qu'il estime mais c'est bel et bien celui qui s'exprime qui compte.
(Cela dit, je ne connais pas « Alfaric, Fnitter ou d'autres » donc c'est un accord de principe.)
(Prendre cet avis comme un avis du vendredi, je ne contrôle pas tout le vendredi...)

[Erwann]

Une déception modérée dans le Journal semi-littéraire.

[Erwann]

Au-delà du simple pastiche ou du pamphlet lourdaud, La quête onirique de Vellitt Boe réinvestit avec une bonne dose d’ironie l’univers du maître de Providence. Et, en dépit du caractère un peu fumeux de l’intrigue, j’ai finalement bien aimé ce bout de voyage en bonne compagnie.

L'avis d'Ubik.

[Thomas Day]

Un été à la page, la sélection de la Bibliothèque des littératures d'aventure de Beaufays

Avec du Kij Johnson / Nicolas Fructus dedans.

TD

[Erwann]

Non, le vrai personnage centrale ici sont les Contrées du Rêve. Et bien que Kij Johnson leurs rende justice à sa manière, on est en-deçà de la puissance évocatrice des récits de Lovecraft. Pour être entrain de lire d’autres textes de l’auteur, je sais qu’elle a une plume magnifique. Mais là, pour moi, si on veut vraiment apprécier toute l’immensité des Contrées du Rêve, il vaut mieux revenir à la source.

Chez Fourbis et Têtologie.