Les chroniques du chroniqueur a écrit :Les références à Lovecraft font ainsi plus que sous-tendre le surnaturel, elles font aussi office de culture commune aux Turner, en plus de donner le monde diégétique comme proche du nôtre. Cependant, les personnages du roman ne sont pas lovecraftiens, au sens qu’ils ont une psychologie et des vécus assez détaillés, qui pousse le lecteur à l’empathie, contrairement aux personnages des nouvelles de Lovecraft (attention, il ne s’agit pas de faire un jugement de valeur ici).
Une cosmologie de monstres de Shaun Hamill chez les chroniques du chroniqueur.
GD