Malgré l'omerta en surface, la réputation de certains n'est plus à faire, comme ce directeur de collection d'une grande maison d'édition connu pour "prendre les stagiaires sur ses genoux". Ou ce poids-lourd de l'édition dans la littérature de l'imaginaire, que plusieurs de nos témoins accusent de harcèlement sexuel. Elles font état d'une "technique bien rodée", visant à créer "une relation personnelle", avec la publication d'un manuscrit dans la balance. "C'est la même logique qu'au cinéma, où un jeu de pouvoir se met en place", témoigne une autrice de romans jeunesse et fantasy.
Le "poids-lourd" en question a déjà été dénoncé publiquement, mais aux USA, par une autrice américaine qu'il avait pelotée lors d'un salon du livre américain.
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JDB