Les vingt romans de la rentrée les plus attendus (selon Cnews)

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Pas de polar, pas de thriller, pas de science-fiction, pas de fantasy...

Bon, c'est pas gagné... (et il manque Franck Bouysse qui, pour le compte, me semble vraiment parmi les auteurs les plus attendus de septembre).

GD

[Pierre-Paul Durastanti]

Cnews, la chaîne de Zemmour et Praud ? OK then.

[Bruno78]

Le Rushdie lorgne quand même pas mal du côté du genre, c'est du reste comme ça que le présente son éditeur :

Quichotte, un représentant de commerce vieillissant obsédé par le “réel irréel” de la télévision, tombe éperdument amoureux d’une reine du petit écran et s’embarque dans une quête chevaleresque en forme de road trip d’Atlanta à New York pour lui prouver qu’il est digne de sa main. À ses côtés sur le siège passager, Sancho, son fils imaginaire. Lancé au volant d’une vieille Chevrolet, le duo plonge dans “l’Ère du Tout Peut Arriver” – époque dérangée, dérangeante et déréglée –, et traverse une Amérique gangrénée par la peur de l’autre, le repli communautaire, le rejet des étrangers et l’islamophobie.
En grand esprit dans le cosmos qui fait tourner le globe terrestre sous ses doigts et embrasse toutes les questions, toutes les idées, l’humanité entière, Salman Rushdie emprunte à la fois au picaresque, à l’amour courtois et à la quête spirituelle pour signer un roman d’une ampleur phénoménale, allégorie de ce geste fou qu’est celui de croire à ce qu’un auteur veut bien nous fait croire. Il emporte tout sur son passage et brasse dans son sillage des thèmes aussi divers que l’amour impossible et obsessionnel, les relations père-fils, les querelles entre frères et sœurs autour d’actes impardonnables, le racisme à l’encontre des immigrants indiens, le combat des femmes pour s’affranchir, les cyber-espions, la science-fiction, l’entremêlement de la réalité fictionnelle et de la “vraie” réalité, l’histoire de l’Auteur qui a créé Quichotte, la mort de l’écrivain, la fin du monde. Exubérant, drolatique et terriblement intelligent, Quichotte est une bombe littéraire sur fond d’apocalypse.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Le Rushdie lorgne quand même pas mal du côté du genre, c'est du reste comme ça que le présente son éditeur :

Quichotte, un représentant de commerce vieillissant obsédé par le “réel irréel” de la télévision, tombe éperdument amoureux d’une reine du petit écran et s’embarque dans une quête chevaleresque en forme de road trip d’Atlanta à New York pour lui prouver qu’il est digne de sa main. À ses côtés sur le siège passager, Sancho, son fils imaginaire. Lancé au volant d’une vieille Chevrolet, le duo plonge dans “l’Ère du Tout Peut Arriver” – époque dérangée, dérangeante et déréglée –, et traverse une Amérique gangrénée par la peur de l’autre, le repli communautaire, le rejet des étrangers et l’islamophobie.
En grand esprit dans le cosmos qui fait tourner le globe terrestre sous ses doigts et embrasse toutes les questions, toutes les idées, l’humanité entière, Salman Rushdie emprunte à la fois au picaresque, à l’amour courtois et à la quête spirituelle pour signer un roman d’une ampleur phénoménale, allégorie de ce geste fou qu’est celui de croire à ce qu’un auteur veut bien nous fait croire. Il emporte tout sur son passage et brasse dans son sillage des thèmes aussi divers que l’amour impossible et obsessionnel, les relations père-fils, les querelles entre frères et sœurs autour d’actes impardonnables, le racisme à l’encontre des immigrants indiens, le combat des femmes pour s’affranchir, les cyber-espions, la science-fiction, l’entremêlement de la réalité fictionnelle et de la “vraie” réalité, l’histoire de l’Auteur qui a créé Quichotte, la mort de l’écrivain, la fin du monde. Exubérant, drolatique et terriblement intelligent, Quichotte est une bombe littéraire sur fond d’apocalypse.

Autant pour moi : j'ai cru que c'était la novélisation du film de Terry Gilliam.

[JDB]

Euh... vous vous attendiez à quoi?
Pendant le pic de la pandémie, certaines médias en mal de copie se sont ruées sur la SF parce qu'elle avait "tout prévu" (insistant bien entendu sur les films plutôt que sur les livres), mais maintenant que c'est fini, que l'épreuve est derrière nous--croit-on--, c'est business as usual: Dicker, Musso, Lévy (Marc), et bientôt Nothomb, Angot, etc.
J'en espérerais presque (PRESQUE) une seconde vague.
JDB

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Euh... vous vous attendiez à quoi ?

Personnellement un peu plus de folie, un peu plus de fantaisie, peut-être des choses plus folles, plus surprenantes.
Et moins de romans qui regardent dans le rétroviseur (je me comprends).

GD

[FeydRautha]

Elle est d'une tristesse cette liste. On ressert la soupe de la veille et de l'avant-veille. C'est chiant à mourir la littérature française.

[Soleilvert]

Les textes de présentation c'est à pleurer

[JDB]

Bon, quand même, je dois l'avouer, il y en a un que j'ai cotraduit dans la liste.
J'ai eu du mal à m'en remettre, cela dit: passer de ça à une novella pour UHL, ça demande une sérieuse remise en forme.
JDB

[M]

Bon, quand même, je dois l'avouer, il y en a un que j'ai cotraduit dans la liste.
J'ai eu du mal à m'en remettre, cela dit: passer de ça à une novella pour UHL, ça demande une sérieuse remise en forme.
JDB

Le Follet ? C'est compliqué de co-traduire ?
Qu'est-ce que tu préfères traduire un UHL ou un Follet ?