Les meurtres de Molly Southbourne se révèle être une sorte de roman initiatique sanglant, avec une héroïne plutôt détachée des standards habituels. Elle se cherche et quand ses doubles apparaissent, elle se sert d’elles parfois pour tenter de se comprendre elle-même ou pour se sentir un peu moins seule. Une sorte de combat contre elle même en quelque sorte afin de découvrir ce dont elle est réellement capable.
Les Meurtres de Molly Southbourne est donc, en dépit de son histoire et de son titre sanglants, une novella qui se lit très bien.
Aldaran a écrit :Seriously ? La perception serait limitée à soi-même à cet âge ? Depuis quand ?
Aldaran a écrit :En effet, c'est long.
Tout content d'en lire davantage sur les malheurs de Molly, mon intérêt pour cette « analyse » a brutalement chuté lorsque j'ai lu :
« [...] un microcosme qu’elle croit maîtriser du haut de ses 5-7 ans. Évidemment, on ne maîtrise pas grand-chose à cet âge et la perception est limitée à soi-même ».
Seriously ? La perception serait limitée à soi-même à cet âge ? Depuis quand ?
C'est dommage, cette promesse de « Dissection psychologique de personnages de l'Imaginaire » était pourtant alléchante !
J'ai lu l'article jusqu'au bout par curiosité mais, au risque de me tromper, ici, j'ai davantage l'impression d'assister à un éparpillement façon puzzle qu'à une analyse psychologique.
FranB a écrit :Si je puis me permettre (puisque j'ai écrit l'article en question xD)...
JDB a écrit :FranB a écrit :Si je puis me permettre (puisque j'ai écrit l'article en question xD)...
Au risque de causer une crise de tétanie, je te signale que je l'ai porté à l'attention de l'auteur--psychiatre en urgences, je le rappelle--tellement il me semblait pertinent.
En espérant, bien sûr, qu'il lise le français ou qu'il puisse se le faire traduire correctement.
(J'en ai profité pour demander des nouvelles de Molly 3, tiens.)
JDB
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