Quitter les Monts d'Automne - Emilie Querbalec

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Disons-le tout net, j’ai adoré ce roman de science-fiction qui en un peu plus de 400 pages déconnecte le lecteur du monde réel.

Quitter les monts d'Automne d’Émilie Querbalec sur RCV, chronique + podcast

GD

[Lhisbei]

Dans la Voix du Nord du jour

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Pourquoi de la science-fiction ? Je ne vois qu’une seule réponse : parce que Dune !

Émilie Querbalec est en interview chez le Chroniqueur.

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Émilie Querbalec... c'est plus que de la SF

;-)

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

C'est parce que le fichier contient le présentation d'une vingtaine d'autres titres AMI avec leur couvertures, couvertures qui n'ont pas été correctement compressées avant d'être inserées dans le fichier.
(il y a un fichier de police, Fira, particulièrement gros aussi)

J'en parlerai avec l'ingénieur la prochaine fois que je le croiserai, mais à mon avis, comme il traîne souvent par ici, il est déjà au courant.

GD

Normalement pour la novella d'Adam-Troy Castro Avec du sang sur les mains(disponible gratuitement à partir du 4 décembre) le fichier devrait être moins lourd. Vous me direz...

GD

[Twin]

Merci. :)

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Rarement la science-fiction nous projette aussi loin dans le futur, et rarement ces dates lointaines ont un véritable sens, ni n’obéissent à une logique narrative pertinente. Dans Quitter les monts d’automne (Albin Michel, 2020), le nouveau roman épique d’Émilie Querbalec paru le 2 septembre dernier, rien n’est laissé au hasard ; une extraordinaire minutie est à l’œuvre dans chaque scène et chaque geste, jusqu’à la façon dont les personnages sont vêtus, et surtout dans le rythme auquel le temps – et l’histoire – s’écoule.

Quitter les monts d'Automne d'Emilie Querbalec dans Usbek&Rica, une très belle critique de Cédric Fabre.

GD

[Apophis]

Rarement la science-fiction nous projette aussi loin dans le futur

D'une part, c'est loin d'être aussi rare qu'il le dit, notamment dans la SF récente. D'autre part, à côté des échelles de millions, voire milliards d'années employées par certains auteurs (de Hard SF, notamment), l'intervalle utilisé dans ce roman n'a rien d'impressionnant. Il est inhabituel, certes, mais de là à s'extasier dessus, non. Rien qu'Eriophora se situe des dizaines de millions d'années dans le futur. Et on pourrait multiplier les exemples de ce type. Non, s'il fallait mettre en exergue et en valeur une des échelles employées dans le roman de Querbalec, ce serait plutôt l'échelle spatiale, à portée intergalactique, qui, elle, est devenue effectivement rare dans la SF moderne.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Il n'y a pas qu'à Saint-Cyr qu'on bizute...

Quitter les monts d'automne dans l'émission du 19 novembre de la Salle 101

Ça commence à 48 minutes 27 secondes.

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Sur Babelio, l'écrivain Pascal Malosse dit tout le bien qu'il pense de Quitter les monts d'Automne d'Emilie Querbalec.

GD