Collection Dyschroniques

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Juste pour signaler que Nous mourons nus de James Blish publié dans la collection dyschroniques se finit abruptement page 83 avec une phrase non finie !? Visiblement personne n'a relu la maquette avant de l'envoyer à l'impression. Perso, j'appelle ça du foutage de gueule.

Chez l'éditeur, comme chez les vendeurs en ligne, l'ouvrage est annoncé avec une pagination de 112 pages.
Votre exemplaires est peut-être défectueux.

GD

[Apophis]

Salopard d'auteur qui termine pas ses phrases !

Oui, comme ce salaud de Silverberg qui n'a même pas fini Les temps parallèles !

[Pierre-Paul Durastanti]

Chez l'éditeur, comme chez les vendeurs en ligne, l'ouvrage est annoncé avec une pagination de 112 pages.
Votre exemplaires est peut-être défectueux.

La différence, c'est le dossier. Le texte est prévu pour finir comme ça.

[FeydRautha]

Vous verriez comment chez Gallimard ils ont salopé la fin de L'Anomalie de Le Tellier. Une honte !

[JDB]

Pour info, le dernier paragraphe de "Nous mourons nus" dans l'édition originale (Trois futurs incertains, Fiction Spécial 20, 1972), trad. Bruno Martin:

Elle tendit la main vers Alex. Au moment où elle lui touchait la joue, il y eut encore un ébranlement et l'extrémité libérée de la poutre commença à glisser, lentement d'abord. Juliette sentit le petit heurt bien connu causé par Hausmaus atterrissant sur son perchoir favori, entre ses épaules, et

JDB

[Pierre-Paul Durastanti]

Et en anglais :

She reached out for Alex. As her hand touched his cheek, there was still another shock, and the free end of the ceiling beam began to fall, slowly at first. Juli felt the soft, familiar thump of Hausmaus landing on his frequent perch between her shoulder blades, and

C'est bon, là ? On peut conclure ?

[ubikD]

Je ne suis pas sûr que

[Alumen]

Pour info, le dernier paragraphe de "Nous mourons nus" dans l'édition originale (Trois futurs incertains, Fiction Spécial 20, 1972), trad. Bruno Martin:

Elle tendit la main vers Alex. Au moment où elle lui touchait la joue, il y eut encore un ébranlement et l'extrémité libérée de la poutre commença à glisser, lentement d'abord. Juliette sentit le petit heurt bien connu causé par Hausmaus atterrissant sur son perchoir favori, entre ses épaules, et

JDB

Oui, mon livre se termine comme ça.
Bon ben si c'est voulu par l'auteur alors je m'incline. En tout cas, ça surprend.
Merci pour l'explication.

[PascalG]

Si vous saviez le nombre de mails que je reçois, me disant que pour un livre qui s'est autant vendu (La Horde du Contrevent), c'est quand même pas normal qu'il manque des mots et des lettres au début et/ou qu'on ne soit même pas foutus de mettre les pages dans le bon ordre...

[M]

Si vous saviez le nombre de mails que je reçois, me disant que pour un livre qui s'est autant vendu (La Horde du Contrevent), c'est quand même pas normal qu'il manque des mots et des lettres au début et/ou qu'on ne soit même pas foutus de mettre les pages dans le bon ordre...

Serieux ?! Je trouve ça énorme.