[Série] Altered Carbon

[Apophis]

Vu pour vous l'anime Altered Carbon : Resleeved (et pour Animeland parce qu'il fallait bien une promesse de salaire pour aller jusqu'au bout). Comment dire ? C'est bâclé.
L'histoire est mineure mais bon admettons, ça colle à peu près à l'histoire de Takeshi... En revanche visuellement ? C'est un massacre : des fonds beaux mais des personnages qui sont des caricatures de l'animation japonaise des années 90 et des scènes de bastons "caméra à l'épaule" confuses à souhait (sauf un ippon et un juji gatame extrêmement propres). A éviter.

Ton sacrifice est grandement apprécié :)

[Shibia]

Vu pour vous l'anime Altered Carbon : Resleeved (et pour Animeland parce qu'il fallait bien une promesse de salaire pour aller jusqu'au bout). Comment dire ? C'est bâclé.
L'histoire est mineure mais bon admettons, ça colle à peu près à l'histoire de Takeshi... En revanche visuellement ? C'est un massacre : des fonds beaux mais des personnages qui sont des caricatures de l'animation japonaise des années 90 et des scènes de bastons "caméra à l'épaule" confuses à souhait (sauf un ippon et un juji gatame extrêmement propres). A éviter.

Ton sacrifice est grandement apprécié :)

Et dis toi qu'il faut que je me tape TOUS les Ghost in the Shell, y compris la nouvelle série prochainement. Je souffre.

[Twin]

y compris la nouvelle série prochainement. Je souffre.

Pour celle-ci le trailer suffit pour invoquer un droit de retrait. Je ne vois pas comment ils pourraient la sauver.

[Shibia]

y compris la nouvelle série prochainement. Je souffre.

Pour celle-ci le trailer suffit pour invoquer un droit de retrait. Je ne vois pas comment ils pourraient la sauver.

J'ai cru comprendre oui. Mais j'ai un côté masochiste dans le boulot....

[Joachim-28]

Mon ressenti : je suis charmé par cet univers sombre, l'hommage à Blade runner n'est pas pour me déplaire, de plus, il colle une ambiance propre au propos : les ruelles crasseuses, l'obscurité et les néons vont bien avec le trafic des corps, c'est poisseux, malsain, glaçant. Dans un monde où la virtualité l'emporte, où les paradis du virtuel offrent une alternative à la réalité sinistre.

Un bémol sur les scènes de baston, filmées à l'Américaine : plans rapprochés pour ne pas voir le grotesque de la baston ; on regrettera les scènes de baston de Jackie Chan, bien mieux conçues.

Au niveau de la réflexion, on est bien servi : la série pose la question, de quoi tombe t-on amoureux ? D'une personnalité et sa mémoire, ou d'une enveloppe corporelle (sleeve) ? La réponse qu'apporte la série est ambiguë, dans l'épisode 04, la femme Ortega finit par désirer le corps de Kovacs, quand bien même ce n'est plus celui qu'il était. Rien que pour cette réflexion philosophique, la saison 01 mérite d'être regardée.