Bonsoir Aldaran,
Je plaide non coupable et l'on pourra peut-être discuter sur d'autres sujets, car pour ce qui est de celui-ci je dois convenir que j'ai épuisé mon modeste stock de critiques
Si j'ai bien saisi, il n'est pas d'usage d'ouvrir et de clore un message posté sur un forum par une formule de politesse. Est-ce bien cela ?
Bien cordialement (dans l'attente des tes précisions ;-)
Station Eleven, Emily St. John Mandel
- Esperluette
- Vandale du vide
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- Enregistré le : 19 octobre 2016 à 17:10
Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
Esperluette a écrit :Si j'ai bien saisi, il n'est pas d'usage d'ouvrir et de clore un message posté sur un forum par une formule de politesse. Est-ce bien cela ?
Pas du tout, on clôt par ce qu'on veut ici comme ailleurs.
C'est juste que cette formule m'a fait penser à un autre intervenant ailleurs (mais je ne sais plus où, d'où ma question).
Au plaisir de futures discussions, donc. J'espère juste que tu termineras les bouquins avant de donner ces avis, les discussions risquent d'être aussi courtes que celle-ci dans le cas contraire.
Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
Vous êtes durs messieurs. Lu de ce côté de la pandémie Station Eleven est un livre triste sur la non-essentialité de la culture. Bien écrit tout ça, mais... non essentiel. (et je ne lirais pas d'autres ouvrages de l'autrice).
De l'autre côté des livres
if wishes were fishes we'd all cast nets
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Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
Ton message est déroutant.
Tu dis que ce roman est un livre sur la « non-essentialité » de la culture alors que la quatrième de couve le présente ainsi :
« Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe itinérante d’acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven ».
En fait, je crois que je n'ai pas bien compris ce que tu voulais exprimer (j'ai lu ton billet et tu donnes l'impression, à ma grande surprise, de l'avoir apprécier malgré tout, ce bouquin, même si ton message ici donne une impression inverse) ni le sens que tu donnais au « non-essentiel ».
Je suis d'accord avec le triste, cependant. Et que la période actuelle modifie beaucoup notre perception de tout. Sans le relire, je me suis demandé l'effet que pourrait me faire aujourd'hui Ora : cle, dans lequel il est impossible de sortir de chez soi.
Tu dis que ce roman est un livre sur la « non-essentialité » de la culture alors que la quatrième de couve le présente ainsi :
« Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe itinérante d’acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven ».
En fait, je crois que je n'ai pas bien compris ce que tu voulais exprimer (j'ai lu ton billet et tu donnes l'impression, à ma grande surprise, de l'avoir apprécier malgré tout, ce bouquin, même si ton message ici donne une impression inverse) ni le sens que tu donnais au « non-essentiel ».
Je suis d'accord avec le triste, cependant. Et que la période actuelle modifie beaucoup notre perception de tout. Sans le relire, je me suis demandé l'effet que pourrait me faire aujourd'hui Ora : cle, dans lequel il est impossible de sortir de chez soi.
Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
Aldaran a écrit :Ton message est déroutant.
Tu dis que ce roman est un livre sur la « non-essentialité » de la culture alors que la quatrième de couve le présente ainsi :
« Dans un monde où la civilisation s’est effondrée, une troupe itinérante d’acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l’espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven ».
C'est une référence à l'actualité française avec un gouvernement qui, en maintenant fermés les musées et salles de spectacles (y comrpris les cinémas) met tout un pan de l'économie dans la mouise car il est "non-essentiel". Sans vouloir débattre sur la justification ou non de telle ou telle limitation...
Et oui je l'ai bien aimé. Pas au point de le relire un jour ni de vouloir en lire plus de cette autrice, mais j'ai passé un bon moment de lecture avec et il a gagné sa place sur mon blog.
En revanche si tu as Ora:cle à l'occase, je veux bien te l'emprunter.
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Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
J'ai.
Devant l'église, ça te va ?
Ton jour et ton heure seront les miens.
Devant l'église, ça te va ?
Ton jour et ton heure seront les miens.
Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
Aldaran a écrit :J'ai.
Devant l'église, ça te va ?
Ton jour et ton heure seront les miens.
Demain jeudi vers 11H ?
Je cours toute la journée aujourd'hui. Merci.
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Re: Station Eleven, Emily St. John Mandel
J'ai adoré après L'Hôtel de verre un autre coup de coeur. On va dire qu'Emily St John Mandel est en passe de devenir une des mes autrices doudou
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