Léo Henry a écrit :Poignante réaction au droit de réponse de Marsan.À la fin de sa communication, Stéphane Marsan brise mon anonymat avec l’élégance qu’on lui connaît désormais. En citant ma maison d’édition, il s’est assuré une réaction : aujourd’hui, chez Albin Michel, tout le monde sait que j’ai témoigné sous le pseudonyme de Jeanne. Cet accueil réservé à mon début de carrière est, pour tous les acteurs de l’édition, une injure déguisée en connivence.
Il pense que vous lui ressemblez. Il sollicite votre complicité. Il s’attend à ce qu’une fois au courant, ses confrères s’affolent de voir une autrice parler et rompre le pacte tacite. Mais il oublie que partout, des hommes et des femmes solidaires s’investissent pour rendre le monde meilleur. Y compris dans l’édition.
https://actualitte.com/article/100126/t ... se-devoile
L'article complet me semble contenir plusieurs points intéressants qui permettent de replacer les pratiques de harcèlements dans le contexte plus large des rapports de force éditoriaux.
Le premier roman de Marguerite Imbert, Qu’allons-nous faire de ces jours qui s’annoncent ? a paru en février dernier, en littérature générale chez Albin Michel.
Le prochain, Les Flibustiers de la mer chimique, paraîtra chez Albin Michel Imaginaire.
En plus d'être courageuse, cette jeune femme a un talent fou. Elle a l'audace, l'énergie créatrice d'une Virginie Despentes ou d'une Catherine Dufour.
GD