Des années plus tard (je redécouvre mes posts ci-dessus...), j'ai décidé de relire tout Di Rollo et de mettre plus de consistance dans la critique.
Voici donc la vraie critique de Number Nine, 9 ans après ma première lecture.
Number Nine, de Thierry Di Rollo (mars 2012)
- Razheem L'insensé
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Re: Number Nine, de Thierry Di Rollo (mars 2012)
Tu vises juste, Nicolas. Grand merci à toi.
Je n'avais pas relu Number NIne depuis sa réédition au Bélial (une relecture purement technique), et en redécouvrant les extraits insérés dans ta critique, je me suis dit: "C'est moi qui ai écrit ça?" Avec le recul (24 ans...), je suis toujours surpris par la tenue acceptable de mon écriture. Ce n'est pas du Ballard ni du Shepard, c'est sûr, entendu et définitif, mais cela reste lisible, honnête vis-à-vis du lecteur. Et merci, surtout, de ne pas ériger la noirceur en seul paradigme de ce que j'aurai produit.
Je n'avais pas relu Number NIne depuis sa réédition au Bélial (une relecture purement technique), et en redécouvrant les extraits insérés dans ta critique, je me suis dit: "C'est moi qui ai écrit ça?" Avec le recul (24 ans...), je suis toujours surpris par la tenue acceptable de mon écriture. Ce n'est pas du Ballard ni du Shepard, c'est sûr, entendu et définitif, mais cela reste lisible, honnête vis-à-vis du lecteur. Et merci, surtout, de ne pas ériger la noirceur en seul paradigme de ce que j'aurai produit.
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
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Re: Number Nine, de Thierry Di Rollo (mars 2012)
J'ai été surpris également, pour tout dire.
En lisant Number Nine, par le style purement, je trouve cela tout à fait excellent. Pour lire pas mal de premier roman, celui-ci n'a pas à rougir devant ce qu'il se fait actuellement, loin de là.
Le second, Archeur, dans lequel je suis, semble déjà plus mûr sur l'univers en toile de fond, mais garde cette écriture là.
J'en reparlerai très bientôt.
En lisant Number Nine, par le style purement, je trouve cela tout à fait excellent. Pour lire pas mal de premier roman, celui-ci n'a pas à rougir devant ce qu'il se fait actuellement, loin de là.
Le second, Archeur, dans lequel je suis, semble déjà plus mûr sur l'univers en toile de fond, mais garde cette écriture là.
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