Une bonne critique ici...
TD
La lumière des morts, Thierry Di Rollo
- Thomas Day
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Re: La lumière des morts, Thierry Di Rollo
La Lumière des morts irradie d’une tristesse profonde, une poésie du désastre qui nous sort de notre zone de confort, nous immergeant dans un univers où les hallucinations prennent corps et chair.
L'avis d'Ubik.
- Razheem L'insensé
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Re: La lumière des morts, Thierry Di Rollo
Poursuite de la plongée en terres Di Rolliennes avec La Lumière des Morts, un étrange roman toujours aussi fascinant.
Le suivant sera ma redécouverte du tout premier roman que j'avais lu de Thierry Di Rollo il y a 12 ans !
Le suivant sera ma redécouverte du tout premier roman que j'avais lu de Thierry Di Rollo il y a 12 ans !
Re: La lumière des morts, Thierry Di Rollo
"[...] la juxtaposition de deux novellas rattachées in extremis par cette lumière bleue surnaturelle et par la connerie humaine."
C'est le seul point où je suis en désaccord avec toi, Nicolas, et où je te trouve un peu dur. Pour moi, La Lumière des morts est un roman, parce que les deux histoires se passent dans la continuité et qu'elles sont tout de même reliées par le personnage de Dunkey. Et l'ensemble me semble cohérent malgré tout. Afrique ou Europe, ça ne change rien. Dunkey et Linder sont tout aussi pathétiques l'un que l'autre, même si c'est pour différentes raisons, et se répondent en miroir d'eux-mêmes. En tout cas, dans mon esprit, au moment même de l'écriture du roman, j'ai rédigé les deux parties l'une à la suite de l'autre, étant entendu que j'avais depuis le début toute l'histoire; les deux protagonistes aussi, évidemment. Ce que je veux dire, c'est que la seconde partie ("Europe") n'a pas été plaquée artificiellement sur la première.
Dumay, après avoir lu la première partie et m'avoir soufflé l'idée que, dans la seconde partie, Linder serait une femme ("Pourquoi pas?"), avait refusé le manuscrit final ("Désolé, trop noir"), mais m'avait redirigé vers Olivier. Et cela a marqué avec Olive le début d'une collaboration longue et riche d'une vingtaine d'années. Sans lui et sa foi dans mon travail, je n'aurais jamais écrit les romans qui ont suivi.
C'est le seul point où je suis en désaccord avec toi, Nicolas, et où je te trouve un peu dur. Pour moi, La Lumière des morts est un roman, parce que les deux histoires se passent dans la continuité et qu'elles sont tout de même reliées par le personnage de Dunkey. Et l'ensemble me semble cohérent malgré tout. Afrique ou Europe, ça ne change rien. Dunkey et Linder sont tout aussi pathétiques l'un que l'autre, même si c'est pour différentes raisons, et se répondent en miroir d'eux-mêmes. En tout cas, dans mon esprit, au moment même de l'écriture du roman, j'ai rédigé les deux parties l'une à la suite de l'autre, étant entendu que j'avais depuis le début toute l'histoire; les deux protagonistes aussi, évidemment. Ce que je veux dire, c'est que la seconde partie ("Europe") n'a pas été plaquée artificiellement sur la première.
Dumay, après avoir lu la première partie et m'avoir soufflé l'idée que, dans la seconde partie, Linder serait une femme ("Pourquoi pas?"), avait refusé le manuscrit final ("Désolé, trop noir"), mais m'avait redirigé vers Olivier. Et cela a marqué avec Olive le début d'une collaboration longue et riche d'une vingtaine d'années. Sans lui et sa foi dans mon travail, je n'aurais jamais écrit les romans qui ont suivi.
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
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- Razheem L'insensé
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Re: La lumière des morts, Thierry Di Rollo
C'est bien évidemment un ressenti personnel à la lecture, la sensation de lire deux romans distincts jusqu'aux 2-3 derniers chapitres.
Cela dit c'est toujours très intéressant d'avoir ce genre de retour pour l'écriture/background du roman.
Cela dit c'est toujours très intéressant d'avoir ce genre de retour pour l'écriture/background du roman.
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