Hachette lance le Rayon Imaginaire

[M]

Ca m'intéresse aussi.

Bien sûr, avec plaisir!

Merci. Et effectivement, je ne sais s'il existe la moindre formation à ce sujet dans les écoles de graphisme. Dans le secteur de l'éducation, de ce que j'en vois, ça bouge, doucement...

Pour être dans l'enseignement, on peut dire que ça bouge beaucoup. Rare sont les classes où il n'y a pas des dys- maintenant. Les aménagements sont énormes pour les accompagner.
Par contre les enseignants ne sont formés que si ils en font la demande. Sinon c'est formation sur le tas avec les aesh.

Et je suis enseignant depuis 15 ans en gros et j'ai au moins un autiste en classe par an.

Fin du HS désolé.

[Shibia]

Par contre les enseignants ne sont formés que si ils en font la demande. Sinon c'est formation sur le tas avec les aesh.

Et je suis enseignant depuis 15 ans en gros et j'ai au moins un autiste en classe par an.

Fin du HS désolé.

aesh ?

[M]

Accompagnant d'élève en situation de handicap. Ils peuvent accompagner des dys- comme des élèves autiste, trisomiques, myopathe etc.... Sans eux on ne s'en sort pas.

[Shibia]

Accompagnant d'élève en situation de handicap. Ils peuvent accompagner des dys- comme des élèves autiste, trisomiques, myopathe etc.... Sans eux on ne s'en sort pas.

OK merci.

[Aldaran]

Dans le secteur de l'éducation, de ce que j'en vois, ça bouge, doucement...

Oh, oui, actuellement, ça bouge.

Si vous avez des liens, les gars, n'hésitez pas !
Le sujet est très intéressant.

[Aldaran]

Dire « toutes et tous » n’a donc pas lieu d’être.

Ça reste un choix personnel.
À ma nièce qui a trois fille et un compagnon, je dis « bises à toutes ainsi qu'à [le compagnon] ». Ça ne prend pas tellement de temps.
Et, quitte à râler contre d’hypothétiques intolérants du langage, autant ne pas employer « n’a donc pas lieu d’être » qui est une formule on ne peut plus improductive.

[Pyjam]

Rappeler le sens du mot « tous » qui désigne tout le monde sans discrimination, pour corriger la signification déformée et réductrice que certains veulent lui donner ne parait pas improductive à tout le monde.

Autrefois, on disait « Mesdames, Mesdemoiselles, et Messieurs » jusqu’à ce qu’on fasse remarquer, à juste titre qu’ils n’y a pas lieu de différencier la femme célibataire de celle qui ne l’est pas. Aujourd’hui, on croit faire preuve de progressisme en employant l’expression « à tous et à toutes » pour distinguer les hommes et les femmes… et qu’en est-il des hermaphrodites ou de tous ceux qui se réclament d’une sexualité alternative ? Pourquoi ne pas aussi distinguer entre les Blancs et les Noirs, les Juifs et les non-Juifs, les malades et les bien portants ? C’est une pente très savonneuse.

Si quelques-uns veulent défendre une cause juste avec de mauvais moyens et en redéfinissant sournoisement les mots, il ne me semble pas improductif de leur dire pourquoi je pense qu’ils font fausse route sur la méthode et pourquoi ils rencontrent une opposition.

[FeydRautha]

Sinon, à la base les mots servent à communiquer. Et donc, choisir et adapter son langage ou son écrit aux personnes auxquelles on s'adresse, à la personne qu'on a en face de soi ou en face de son clavier, au temps présent, ne me semble pas tirer vers l'hérésie mais simplement relever du principe même... de la communication. Le reste n'est que posture.

[FeydRautha]

Pour en revenir au sujet, sans être dans le spectre ou dans les dys- (autant que je sache), je suis assez sensible au visuel et aux détails géométriques. Une couv' comme celle de Weiss, typiquement, me perturbe. Je dois faire un effort de concentration pour remettre les mots en place et lire le titre. Celle de Shelley ne me pose aucun problème. Celle de Harrow, j'ai abandonné. Je suis incapable de vous donner le titre du bouquin.

[Herbefol]

Pour en revenir au sujet, sans être dans le spectre ou dans les dys- (autant que je sache), je suis assez sensible au visuel et aux détails géométriques. Une couv' comme celle de Weiss, typiquement, me perturbe. Je dois faire un effort de concentration pour remettre les mots en place et lire le titre. Celle de Shelley ne me pose aucun problème. Celle de Harrow, j'ai abandonné. Je suis incapable de vous donner le titre du bouquin.

Pareil, ce ne sont pas les couvertures les plus lisibles que j'ai vu. De façon générale, du texte en couleur pâle (ce qui est le cas de certains caractères dans les visuels proposés) sur un fond blanc c'est une super recette pour un truc illisible. Après, il faudra voir ce que ça donne une fois imprimé (les visuels sur écran d'ordi c'est quand même souvent trompeur).