Dragon, Thomas Day (janvier 2016)

[Erwann]

Erwann, tu es un robot, j'ai même pas le temps de venir ici que tu as déjà posté !!

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[Xapur]

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[Pierre-Paul Durastanti]

Au pays des cave trolls, on a été bien retourné.

[Erwann]

Dragon n’est pas pour les âmes sensibles, mais c’est une histoire puissante qui mêle aisément faits réels, engagement et fantastique.

Dans les lectures de Hauntya.

[Erwann]

Avec un style d’écriture brut, cru et sans concession, l’auteur ouvre brillamment la collection Une Heure Lumière du Bélial et se hisse sans peine dans mon top 3 des meilleures novellas parues chez l’éditeur.

L'avis d'Ombre Bones.

[Erwann]

En bref, hormis un sujet que j’ai trouvé abordé avec maladresse et qui aura légèrement entaché mon enthousiasme à la lecture, Dragon est une grande novella. Le style de Thomas Day claque, sa plume est acérée, son style viscéral. On parcoure une Thaïlande qui pue le sang et le vice, dans un futur proche qui ne résout en rien les atrocités de notre présent mais semble même les accentuer. Un texte violent et puissant qui marque les esprits. C’était une sacrée entrée en matière pour une collection exceptionnelle !

L'avis de Yuyine.

[Erwann]

… cette déchirure sanglante [sur la couverture] qui nous fait tout de suite comprendre que Dragon n’est pas un petit texte rempli de licornes.

La novella de Thomas Day fait un tour à la Croisée des Pages.

[Erwann]

Le rythme du récit est ce que j’ai trouvé de plus intéressant. Les chapitres sont mélangés, brouillant les pistes et la timeline, et j’ai beaucoup aimé cette confusion maîtrisée.
Une lecture coup de poing, excellente par bien des côtés, mais pour public averti.

Chez Fourbis & Têtologie.

[Erwann]

Une novella sordide, glaçante, cruelle abordant des thématiques infiniment tristes et tout autant sordides. Un récit à ne pas mettre dans toutes les mains.

L'avis de la Navigatrice de l'Imaginaire.

[Erwann]

L’auteur met en pratique sa très bonne connaissance de l’imaginaire et de l’écriture pour livrer un texte d’une grande puissance, preuve, si c’est encore nécessaire, que ce genre littéraire permet de parler de sujets graves. Mieux que la littérature blanche ?

Dragon dans les Mondes de Poche.