Avec ce texte on retrouve les différentes facettes de Greg Egan, à la fois accessible et plaisant, tout en étant parfois obscur voire abscons.
L'avis du Maki.
Avec ce texte on retrouve les différentes facettes de Greg Egan, à la fois accessible et plaisant, tout en étant parfois obscur voire abscons.
Encore un essai réussi pour un format court avec Greg Egan pour moi, il va falloir que je songe à me plonger dans Océanique assez rapidement, je crois, après le succès durable d‘Axiomatique il y a quelques années maintenant. (Qui, ça tombe bien, est ressorti tout récemment dans une toute jolie édition chez les amis du Bélial’, quel heureux hasard, dites, hein.) Qu’il est bon de se dire qu’il y a certaines valeurs sûres en lesquelles on peut se permettre d’avoir confiance.
J’ai beaucoup apprécié cette novella qui sous ses airs de texte très accessible et assez classique en termes d’intrigues avec la revisite du thème de la disparition montre en réalité une certaine habileté et subtilité dans sa manière de traiter ces thématiques.
JDB a écrit :FeydRautha a écrit :...Je peux proposer ma propre interprétation, en précisant que ce n’est pas parce que j’ai traduit ce texte que je l’ai mieux compris qu’un autre lecteur.
Non, mais ça va pas, de révéler comme ça les secrets du métier aux profanes?
Blague à part, tes réflexions me font penser à ceci.
JDB
Weirdaholic a écrit :Feyd, tu étais sûr de ne pas connaître, même indirectement, L'Art de la mémoire de Frances Yates
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