En dépit de son âge, La Chose demeure donc un huis-clos polaire efficace, d’une modernité étonnante, où le Struggle for life et le nihilisme s’effacent devant l’enquête scientifique et la froideur des faits. On relira maintenant avec plaisir Les Choses, histoire de goûter à toute l’ironie mordante de Peter Watts qui correspond finalement bien à l’esprit du texte de Campbell.
L'avis d'Ubik.