Basketful of Heads, de Joe Hill & Leomacs

[Weirdaholic]

Dans la série rattrapage de 2021 (aux côtés de l'excellent 47 cordes, qu'il faudrait que je me décide à chroniquer), voici un titre horrifique jubilatoire et absolument pas prise de tête (ou alors au sens propre ^_^) : Basketful of Heads.

Yuyine a aimé, moi aussi.

[Gromovar]

Beaucoup aimé aussi

[Weirdaholic]

Beaucoup aimé aussi

Arf, je n'avais pas vu ta chronique !

Une fois encore, Hill (en digne fils de son père) fait un travail exceptionnel tant de scénarisation que de caractérisation. Et comme dans ses comics précédents, il est supporté par des auteurs graphiques qui illustrent de parfaite façon sa vision.

Je n'aurais pas mieux dit...

Sinon, moi aussi je serai curieux de voir en VF d'autres titres de Hill House (y compris la suite de Basketful of Heads, mais je ne sais pas si Urban fait suite aux demandes de la blogosphère SF... ^_^

[Albumine Tagada]

Vous me donnez envie de le relire, tiens ! J'avais apprécié, en mode horreur pop-corn de haute volée, mais j'avais trouvé ça curieusement trop "propre". D'autant que Hill avait déjà donné dans le slasher 80's avec Sans Issue (une mini-série dérivée de son roman NOS4A2 passée un peu sous le radar : https://www.bedetheque.com/BD-Sans-issue-Bienvenue-a-Christmasland-Bienvenue-a-Christmasland-258169.html). C'était sûrement moins abouti que Basketful..., mais probablement plus personnel.

[Weirdaholic]

Hill avait déjà donné dans le slasher 80's avec Sans Issue (une mini-série dérivée de son roman NOS4A2 passée un peu sous le radar : https://www.bedetheque.com/BD-Sans-issue-Bienvenue-a-Christmasland-Bienvenue-a-Christmasland-258169.html). C'était sûrement moins abouti que Basketful..., mais probablement plus personnel.

Ah, j'ai un bon souvenir de Sans issue, il faudra que je le relise... ^_^

Effectivement, là on était sans doute plus dans ses hantises personnelles, avec plus d'ambition que Basketful of Heads (qui est peut-être moins révolutionnaire, mais tellement jubilatoire !)

Dans les 2 cas, le dessin est admirablement adapté à l'objectif (sombre et nerveux pour Sans issue, plus lumineux et très expressif dans Basketful of Heads) ; comme le dit Gromovar dans sa chronique, Joe Hill choisit toujours ses partenaires avec soin.