Un an dans la Ville-Rue, Paul Di Filippo (mai 2022)

[Olivier Girard]

un auteur qui mérite vraiment d’être découvert, tant sa voix s’avère originale

Francois Schnebelen, sur la Yozone, n'a pas boudé son plaisir.

[Nelson]

Ahhh, malheureusement c'était trop court. Les pages ont défilé à une vitesse folle, et ca s'est arrêté trop abruptement alors que je salivais d'en apprendre un peu plus sur ce monde.
C'était excellent en tout cas, très dense sans être lourd.

[Pierre-Paul Durastanti]

Un an dans la Ville-Rue est une métafiction sur l’imaginaire, un texte formidable soutenu par une traduction admirable. Tout simplement.

Notre Harkonnen préféré en met partout...

[Pierre-Paul Durastanti]

Longtemps que je n’avais pas eu un tel plaisir de lecture.

L'avis dithyrambique de Noé Gaillard sur Daily-Passions.

[Erwann]

Un an dans la Ville-Rue, à partir de 39'20".

[Pierre-Paul Durastanti]

Pour le dire vite, j’ai trouvé ce texte assez étrange.

Le syndrome Quickson apprécie sa lecture.

[Erwann]

Difficile de résumer Un an dans la ville-rue, récit qui verse dans l’étrange (le mot anglais « weird » serait plus approprié) tout en retraçant ce que peut être la vie d’un jeune homme qui se cherche dans la grande ville, thème qu’on retrouve dans de nombreux romans américains. C’est peut-être difficile d’accès dans un premier temps mais c’est une lecture enivrante.

C'est l'avis de Sylvain Bonnet sur Boojum.

[Jean-Claude Dunyach]

Pour faire mon chieur, une fôte : "cession d'écriture" qui aurait dû être "session d'écriture".
Et c'est vraiment un excellent texte...

[RaphaëlG]

Pour faire mon chieur, une fôte : "cession d'écriture" qui aurait dû être "session d'écriture".
Et c'est vraiment un excellent texte...

Crotte, je l'ai loupée, celle-là !
Bon, ben, hop, flagellation !

[Pierre-Paul Durastanti]

Erf, apparu entre mon fichier Word et le pdf des épreuves (où je ne l'ai pas vu). Snif.