Opexx, Laurent Genefort (mai 2022)

[M]

Un récit étonnant qui se lit bien. Un univers qui ne demande qu’à être développé dans d’autres nouvelles.

[Erwann]

Au final, Opexx est une novella qui sort de l'ordinaire et Laurent Genefort un auteur à part dans le paysage imaginaire. C'est aussi une bonne porte d'entrée dans son univers, un bon moyen de découvrir sa prose et son inventivité.

L'avis du Maki !

[John Shooter]

*

[JDB]

Dévoré d'une traite ou presque.
Maîtrisé de la première à la dernière ligne.
Et j'ai pensé--dans un registre certes différent--au thème de l'alien chez James Tiptree, Jr. (voir par exemple "Je me suis éveillé sur le flanc froid de la colline"). D'ailleurs, cette novella aurait pu s'intituler Aliénation.
Bravo, Laurent.
JDB

[Lo G]

Dévoré d'une traite ou presque.
Maîtrisé de la première à la dernière ligne.
Et j'ai pensé--dans un registre certes différent--au thème de l'alien chez James Tiptree, Jr. (voir par exemple "Je me suis éveillé sur le flanc froid de la colline"). D'ailleurs, cette novella aurait pu s'intituler Aliénation.
Bravo, Laurent.
JDB

Merci, cela me touche beaucoup, Jean-Daniel, surtout vu ton niveau d'exigence. Je ne connaissais pas la nouvelle de Tiptree (ou alors elle est restée discrètement stockée dans quelques neurones périphériques ?). Effectivement, Alienation aurait pu tout à fait convenir comme titre - mais j'évite désormais les "alien"eries, ayant déjà écrit un Aliens mode d'emploi et Crimes, aliens et châtiments, sans compter le prochain Parallaxe.

... Et merci également à Wicker Man !

Lo G

[Erwann]

L'avis déçu du Syndrome Quickson.

[Erwann]

Opexx est donc un court roman qui mérite le détour, ne serait-ce que pour l’univers foisonnant entraperçu au fil des missions.

L'avis de Waremberg sur les Chroniques de l'Imaginaire.

[Lo G]

L'avis déçu du Syndrome Quickson.

J'ai l'impression que le projet littéraire sous-tendant Opexx ne pouvait correspondre aux attentes du chroniqueur. C'est pourquoi je ne prends pas son avis de façon négative (d'ailleurs il ne dit pas "ce texte est mauvais") ; il m'apparaît plutôt comme l'expression d'une rencontre impossible entre un auteur (moi) et un lecteur formaté pour un certain type de texte. Pour moi, ma fiction ne se situe pas dans l'entre-deux évoqué : il s'agit sans ambiguïté d'une étude de personnage, et le dispositif science-fictionnel est au service de cette étude.

En tant que lecteur, je n'ai pas ce genre de réaction (c.a.d. confronter une oeuvre à un résultat idéalisé) vis-à-vis d'un ouvrage, j'aurais l'impression de ne pas me conformer au pacte de lecture. En revanche, cela m'arrive assez fréquemment en tant que spectateur vis-à-vis d'un film.

Lo G.

[Erwann]

L'avis de Noé Gaillard sur Daily Passions.

[JDB]

Extrait de l'entrée Wikipédia sur l'effet von Restorff (avec lien vers l'entrée du livre):

Le syndrome de Restorff est au cœur de l'intrigue du roman court Opexx écrit par Laurent Genefort et publié en 2022.

Y en a qui suivent.
JDB