Un an dans la Ville-Rue, Paul Di Filippo (mai 2022)

[Pierre-Paul Durastanti]

C'est un hymne à l'incompréhensible et à l'inimaginable, au plaisir et à la nécessité d'y réfléchir à défaut de pouvoir pleinement les envisager. C'est une très belle novella.

Chez 233°C, on trouve le texte calliente.

[Erwann]

Avec Un an dans la Ville-Rue, Paul Di Filippo nous propose l’histoire d’une surprenante ville-monde pendant un an au travers du regard d’un écrivain. Il effectue ainsi une véritable mise en abyme rendant hommage aux récits populaires, à l’imaginaire. Le récit se dédouble ainsi, portant de multiples réflexions en son sein. La traduction de Pierre-Paul Durastanti vient parfaire ce texte et donne envie de replonger une nouvelle fois dans cette ville-rue pour en explorer les recoins et références qu’on aurait raté à la première lecture.

L'avis de Célindanaé !

[Pierre-Paul Durastanti]

Un texte particulier qui ne pouvait paraître nulle part ailleurs que dans la collection Une Heure Lumière.

L'avis d'Ombre Bones.

[Erwann]

L'analyse du Chroniqueur !

[JDB]

Sur facebook, John Clute rappelle l'existence d'un architecte visionnaire, Edgar Chambless, dont l'utopie intitulée Roadtown (1910) a peut-être influencé Paul Di Filippo.
JDB

[FeydRautha]

Ça me fait penser à The Line, ce projet saoudien assez barré de ville futuriste (et qui ne se fera sans doute jamais).

[JDB]

Ça me fait penser à The Line, ce projet saoudien assez barré de ville futuriste (et qui ne se fera sans doute jamais).

C'est exactement ce projet qui a amené John Clute à évoquer Roadtown, j'avais omis de le préciser.
JDB

[Pierre-Paul Durastanti]

Passionnante de bout en bout, la plongée dans la Ville-Rue est tout simplement fantastique.

Le Maki est conquis.

[Weirdaholic]

Bon, dans ma chronique, je poursuis la comparaison avec Damasio entamée dans ce forum, je rajoute d'autres références, et surtout je pose LA question que redoutait Pierre-Paul Durastanti ^_^ :

Récit d'atmosphère stylé, émouvant, auto-réflexif et inclassable (enfin si, il relève du New Weird, comme le Chroniqueur l'explique fort bien), Un an dans la Ville-rue mérite amplement sa place dans la non moins stylée collection Une Heure-lumière – à quand la traduction de sa suite, A Princess of the Linear Jungle ?

[Pierre-Paul Durastanti]

Même pas peur !!