Ymir, Rich Larson (septembre 2022)

[Erwann]

Si Ymir débarque dans deux semaines, il est disponible dès maintenant à la précommande !
(D'après la Loi du Personnage dans l'Espace, énoncée par Gilles Dumay ca 2022, on peut espérer que ce roman dont le protagoniste fait le trajet inverse — de l'espace vers le plancher des vaches et des grendels —, on espère un carton plein ;-)

[Erwann]

Reçu il y a quelques jours : Ymir, sous sa couverture de Pascal Blanché qui tape fort.

[Erwann]

Une analyse d'Ymir chez Xeno Swarm.

[FeydRautha]

Indéniablement un roman à côté duquel le lecteur de science-fiction qui s’intéresse à ses développements les plus contemporains ne devrait pas passer.

C'est mon avis.

[Pierre-Paul Durastanti]

Ymir, un roman coup de poing. Ymir, une claque bardée de lames dans une face déjà abimée par le froid et la glace. Ymir, une histoire de famille et d’amour, de haine et de pardon. Ymir, un roman à lire.

Bref, Le nocher des livres a beaucoup aimé.

[Erwann]

La sortie du jour, c'est Ymir ! Traduit par Pierre-Paul Durastanti et illustré par Pascal Blanché, le roman de Rich Larson est dès à présent disponible en papier comme en numérique dans toutes les bonnes librairies et sur belial.fr.

[Erwann]

Roman dense et passionnant, Ymir s’offre la plus belle science-fiction pour explorer nos culpabilités et nos révoltes. Sur la planète de glace couve le feu de la révolte contre l’oppression et les souvenirs bouillonnent pour nous rappeler au réel et au fondamental : l’amour entre les frères humains.
Rich Larson signe un premier roman aussi maîtrisé que noir où politique et science-fiction se marient à merveille sans jamais s’étouffer mutuellement.

Ymir chez Just A Word.

[JDB]

Acheté aux Hypermondes en avant-première, et récupéré au passage mon exemplaire de La Fabrique des lendemains, prêté il y a deux ans à un neveu girondin dont la PAL atteint des proportions tourdebabelesques. J'arriverai armé aux Utopiales.
JDB

[Gromovar]

Adoré le début, un peu moins la fin.

[Olivier Girard]

Sur Daily Passions, René Gaillard a plus aimé le roman que sa couverture…