Très bon roman:
http://www.scifi-universe.com/critiques ... issait.htm
La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
Salut oman, je te signale amicalement une petite erreur factuelle dans ta chronique :
Spontanément, j'aurais plutôt dit 42 ans, pensant à sa nouvelle "La Réserve" parue en mai 68, mais à en croire la nooSFere, près d'une douzaine de nouvelles lui seraient encore antérieures... Surpris je suis.
oman a écrit :Jean-Pierre Andrevon écrit depuis déjà trente ans
Spontanément, j'aurais plutôt dit 42 ans, pensant à sa nouvelle "La Réserve" parue en mai 68, mais à en croire la nooSFere, près d'une douzaine de nouvelles lui seraient encore antérieures... Surpris je suis.
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
scifictif a écrit :Spontanément, j'aurais plutôt dit 42 ans, pensant à sa nouvelle "La Réserve" parue en mai 68, mais à en croire la nooSFere, près d'une douzaine de nouvelles lui seraient encore antérieures... Surpris je suis.
"La Réserve" était sa première parution pro (dans Fiction), mais Andrevon a bien débuté dans le fanzine de Jacqueline Osterrath, Lunatique, 3 ans auparavant. En revanche, sa biblio nooSFere comporte (au moins) 2 erreurs : les 2 textes indiqués en 57 et 59 sont des articles, pas des nouvelles. Ça sera bientôt corrigé.
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
scifictif a écrit :Salut oman, je te signale amicalement une petite erreur factuelle dans ta chronique :oman a écrit :Jean-Pierre Andrevon écrit depuis déjà trente ans
Spontanément, j'aurais plutôt dit 42 ans, pensant à sa nouvelle "La Réserve" parue en mai 68, mais à en croire la nooSFere, près d'une douzaine de nouvelles lui seraient encore antérieures... Surpris je suis.
Merci je le note. Je ne suis pas grand familier d'Andrevon.
Justement je m'étais basé sur Noosphère (ma bible SF) et je parlais roman. Je m'en vais corriger tout cela.
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
Ben même en roman, les hommes-machines contre gandahar, c'est 69.
https://www.noosfere.org/
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
Je suis en plein dedans et une petite question me taraude :
JPA a-t-il fait le pari de caser le mot "tesson" le plus de fois possible dans son bouquin ?
JPA a-t-il fait le pari de caser le mot "tesson" le plus de fois possible dans son bouquin ?
Lecture précédente : L'été de l'infini.
Lecture actuelle : Bifrost King.
Lecture actuelle : Bifrost King.
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
La critique de Claude Ecken, parue dans L'Écran fantastique de juillet/août.
(cliquez pour agrandir)
« Difficile d'arrêter sa lecture tant les événements s'enchaînent alors que titille la question de base : et vous, comment auriez-vous agi ? Un grand Andrevon. »
(cliquez pour agrandir)
« Difficile d'arrêter sa lecture tant les événements s'enchaînent alors que titille la question de base : et vous, comment auriez-vous agi ? Un grand Andrevon. »
Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
L'avis d'ActuSF sur La Maison qui glissait :
http://www.actusf.com/spip/article-9450.html
http://www.actusf.com/spip/article-9450.html
- Olivier Girard
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Re: La Maison qui glissait, de Jean-Pierre Andrevon (mai 2010)
Le roman est construit à la manière d'un thriller dont le rythme s'accélère pour augmenter la tension. Les répétitions, qui paraissent parfois pesantes, ne sont pas fortuites non plus. Le lecteur ne prend la pleine mesure de l'ouvrage de Jean-Pierre Andrevon que lorsqu'il a tourné les dernières pages. Si les personnages sont assez caricaturaux, je pense que c'est au bénéfice de l'efficacité du propos. Le lecteur s'imprègne crescendo de l'atmosphère de terreur qui règne dans la tour. Il est tenu en haleine, non seulement par le devenir des protagonistes, mais aussi le postulat (ou la question du pourquoi) dont il ne doute pas qu'ils finiront bien par être posés et donner un sens aux évènements. Mais Jean-Pierre Andrevon tien les rennes de bout en bout, jusqu'à son dessein final.
Une critique à lire ici :
http://lecture.cafeduweb.com/lire/12012 ... revon.html
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