Soleil vert a écrit :(le trop modeste JC Dunyach)
MUHAHAHAHAHAHA. Whew.
C'est bon de rire, parfois...
Soleil vert a écrit :(le trop modeste JC Dunyach)
jdb a écrit :Pontiac a écrit :Mais c'est de la science-fiction. Je préfère le space opera.
J'ai les burins chez moi (ne me demandez pas pourquoi). Quelqu'un a une plaque de marbre ? Parce que ça mérite vraiment d'être immortalisé.
JDB
O_o a écrit :Alors, lu et déçu.
Déçu sur le dossier JGB car, pour une autopsie, ça manque quand même cruellement de chair fraiche. On donne plus dans la paléontologie que dans la médecine légale. Hormis le texte de Poutouman, cela reste principalement de la réédition de documents et d'interview réalisés du vivant de Ballard, et pour la plupart, déjà lu ou entendu.
O_o a écrit :Les nouvelles rendent un bel hommage au monument, mais pourquoi avoir fait ce choix de Autobiographie secrète de J. G. B****** en ouverture alors que ce texte m'a toujours semblé sonner l'adieu de Ballard à la SF ?
O_o a écrit :D'un autre coté, j'avoue ne pas être un fan de Ballard. C'est sans doute dû au double sens (français) de nouvelle vague ; j'ai souvent trouvé que, dans ses nouvelles, JGB abusait du second.
Le fait même que tu ais jugé utile de le retravailler montre qu'il y avait des choses à... retravailler.Jean-Claude Dunyach a écrit :Au risque de te décevoir encore plus, je dois avouer que mon article, bien qu'inédit, date d'une quinzaine d'années. Je l'ai retravaillé avant parution, bien sûr, mais pas fondamentalement.
Le fait est que tout Ballard était déjà dans ses débuts, ou presque. Donc ce qui a été écrit sur lui en 1975 reste parfaitement pertinent, à mon sens.
Je sais bien, mais j'ai toujours regretté ce testament qui ne lègue rien à personne. Même pas à la postérité. Et pourtant, il y avait motif.Jean-Claude Dunyach a écrit :Pas pour moi, justement. C'est un testament littéraire, et c'est un texte d'une grande finesse - un adieu, certes, mais pas à la SF comme expérience de pensée, un adieu à l'aspect le plus "effets spéciaux gratuits" de la SF. C'est un peu l'équivalent du Dogme de Lars Von Triers : on n'abandonne pas le cinéma, mais on s'efforce de minimiser les effets spéciaux et la gratuité pour se concentrer sur le reste, et en particulier l'aspect humain.O_o a écrit :Les nouvelles rendent un bel hommage au monument, mais pourquoi avoir fait ce choix de Autobiographie secrète de J. G. B****** en ouverture alors que ce texte m'a toujours semblé sonner l'adieu de Ballard à la SF ?
J'y peux rien, j'ai toujours trouvé que Brunner faisait un meilleur (silver ?) surfer que Ballard :-)Jean-Claude Dunyach a écrit :Cela me paraît une explication tout à fait valide de ta déception :-)O_o a écrit :D'un autre coté, j'avoue ne pas être un fan de Ballard. C'est sans doute dû au double sens (français) de nouvelle vague ; j'ai souvent trouvé que, dans ses nouvelles, JGB abusait du second.
O_o a écrit :Je ne porte pas de jugement de valeur sur la qualité de ce qui a été écrit en 1975. Je regrette juste, qu'hormis ton article, on reste sur des photos d'époque. Sur des chromos aux couleurs parfois un peu passées.
Olivier Girard a écrit :On me signale un article d'une colonne sur le Bifrost Ballard dans le Libération d'aujourd'hui.
Pas encore lu, mais bon...
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