Éversion, Alastair Reynolds (février 2023)

[Erwann]

Ce qu'en dit Frédérique Roussel dans Libération (attention, ça spoile à mort).

[Apophis]

C'est clair qu'à ce niveau de spoil, c'est quasiment criminel. Même si l'exercice de chroniquer ce roman sans RIEN divulgâcher ET en lui rendant justice / en donnant envie aux gens de le lire, le tout dans l'espace forcément limité d'une recension de magazine ou de quotidien, est extrêmement ardu. Quand je dis que c'est sans conteste la critique la plus difficile que j'ai rédigée pour Bifrost, je ne plaisante pas.

[JDB]

C'est clair qu'à ce niveau de spoil, c'est quasiment criminel.

Pour quelqu'un qui a lu le roman et sait à quoi s'en tenir, peut-être. Mais pour moi qui ne l'ai pas encore lu, le papier de Frédérique Roussel est suffisamment ambigu pour laisser planer l'incertitude. Et en plus, il me donne envie. Dès que je peux, je fonce l'acheter (pas eu le temps: je suis en retard sur la trado en cours--PAS pour Le Bélial', je précise).
JDB

[Pierre-Paul Durastanti]

je suis en retard sur la trado en cours

Pfff, ces retraités, j'vous jure. Pas comme ça qu'on va relever la France ! ;)

[JDB]

je suis en retard sur la trado en cours

Pfff, ces retraités, j'vous jure. Pas comme ça qu'on va relever la France ! ;)

MUHAHAHAHAHAHA!
( (c) Gromovar.)
JDB

[Olivier Girard]

Éversion relève de la bonne science-fiction, celle dans laquelle on aime tant se perdre pour mieux apprécier la mécanique du récit obéissant à une logique qui se dérobe longtemps. Une fois connue, elle offre une nouvelle lecture de tout ce qui précédait. Et la magie est toujours là !
Un vrai plaisir de lecture !

Sur la Yozone.

[Erwann]

… lis Eversion, c'est le pied.

Le Chien critique a apprécié Éversion.

[Calambredaine]

Bonsoir,

Cela fait une éternité que je ne suis pas passé par ici. Je veux seulement passer vous dire à quel point j'ai apprécié ce roman.
Mon billet par ici

[JDB]

Johan Héliot sur facebook:

Tout ou presque du sense of wonder de la science-fiction, depuis Verne et Wells jusqu'à Egan en passant par Dick (des noms pas cités au hasard) en à peine 300 pages d'une vertigineuse mise en abyme au style évolutif, c'est Eversion d'Alaistair Reynolds, récemment paru au Bélial', et ça faisait longtemps qu'un récit de sf ne m'avait pas autant transporté, dans tous les sens du terme, et même autant ému ! Impossible à résumer sans méchamment spoiler, désolé - il faut le lire, point. Et c'est garanti 100% fantasy free, ce qui ne gâte rien ! Traduit admirablement par P.P. Durastanti, qui plus est. Aucun amateur sérieux de sf ne devrait s'en dispenser, vous voilà prévenu...

JDB

[Erwann]

Éversion réjouira donc l’amateur de science-fiction d’autant plus facilement qu’il procure un authentique plaisir de lecture avec une efficacité exemplaire.

L'avis d'Ubik.