Parsemé de nombreuses illustrations d’un Nicolas Fructus toujours aussi inspiré (s’il rempile à chaque volume, on ne pourrait que très fortement souhaiter un grand livre illustré en couleurs…), La première et la dernière s’avère donc être un cran au-dessus du premier volume. Et s’il clôture son arc scénaristique, il ouvre à nouveau la voie à un troisième volume que l’on ne peut qu’attendre frénétiquement, eu égard à la qualité des deux romans parus jusqu’ici. Alors oui, je ne manquerai par de plonger dans Le désert des cieux, dès sa parution. En attendant, chers lecteurs et lectrices, laissez-vous happer, aux côtés de Noon, Yors et Meg, par la Cité de la Toge Noire, la Ville aux Mille Fumées, cité qui pue, cité qui tue, mais cité à l’indéniable personnalité et au pouvoir d’attraction étourdissant.
C'est l'avis de Lorhkan !