« Rossignol » s’inscrit d’emblée parmi les lectures centrales d’un corpus science-fictif qui se respecte, et de toute réflexion politique et poétique contemporaine sur ce qui compte.
C'est ce que pense Hugues Robert de la librairie Charybde.
« Rossignol » s’inscrit d’emblée parmi les lectures centrales d’un corpus science-fictif qui se respecte, et de toute réflexion politique et poétique contemporaine sur ce qui compte.
Erwann a écrit :Kaliayev a écrit :J'ai fini de le lire hier soir. Très, très beau texte en effet. Pour l'instant c'est ma meilleure lecture de 2023.
Génial !Kaliayev a écrit :On comprend les références à Banks en effet. J'ai peu lu d'Egan donc je ne m'avancerai pas là-dessus. Par contre j'avais l'impression d'y retrouver une pointe d'Alaistair Reynolds.
Le truc amusant, c'est qu'Audrey Pleynet reconnaît ne jamais avoir lu Banks ou Le Guin (mais cela devrait changer : des mains amies lui ont remis des livres de l'un ou l'autre lors de la soirée organisée par le Nuage vert le 6 juin ;-)
… on ne peut alors que s’émerveiller devant la qualité d’écriture, l’inventivité tant dans les êtres décrits, que dans la création de vocabulaire, de noms, de formes, de concepts. Sans oublier l’émotion qui monte tout au long de la novella.
Une fois de plus, même s’il est d’un abord un peu difficile, un texte superbe, d’une grande force et originalité dans cette très belle collection.
FeydRautha a écrit :il y a un truc dont je n'ai pas parlé dans ma critique qui est le trope de la télépathie, que je trouve habituellement complètement stupide. Dans Rossignol, Audrey en fait une utilisation remarquable. Elle m'a réconcilié avec.
Weirdaholic a écrit : le concept génial de "bordel à pensées" ?
FeydRautha a écrit :Weirdaholic a écrit : le concept génial de "bordel à pensées" ?
Tout à fait génial ce concept, et quand il arrive dans la novella il apparait comme une évidence.
Apophis a écrit :Et pourquoi aurais-je dû censurer la chose ? C'est un point clé de l'intrigue ? Le dévoiler divulgâche la lecture de ce roman ? C'est un élément de worldbuilding / character-building, point. Faut arrêter de jouer aux vierges effarouchées chaque fois qu'on dévoile un aspect d'un bouquin dans une critique.
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