Kaliayev a écrit :Je trouve que la 4ème de couverture ne reflète pas hyper bien l'essence du récit. Le pitch décrit oriente le lecteur vers une certaine attente et finalement je me suis dit en finissant la lecture du livre "mais ça n'a rien à voir en fait"
Mais je comprends tout à fait la difficulté de faire une 4ème de couverture qui a du être un casse-tête pour la maison d'édition vu le nombre de choses abordées par E. Querbalec dans cette œuvre.
Le problème de cette quatrième c'est qu'on ne pouvait pas en dire plus sans spoilier l'intrigue et le changement radical / bifurcation qu'il y a dans le récit à un moment. Donc j'ai fait un choix, celui de mettre en avant la partie premier contact, qui n'est pas la partie la plus développée du roman, mais elle boucle la boucle, puisque c'est l'entame et la coda. Mettre en avant l'autre problématique avait le désavantage de spoilier complètement la rupture voulue par l'autrice et posait des tas de problèmes pour la couverture.
J'en ai lu des pages et des pages sur cette quatrième, c'est rigolo, mais je vais quand même prévenir Le Livre de poche pour qu'ils essaient de faire autre chose.
Les quatrièmes ne mettent jamais tout le monde d'accord, certaines sont extrêmement compliquées à rédiger sans spoilier, car il faut donner envie (sans raconter parfois le truc qui rend le texte exceptionnel), une quatrième c'est de la PLV (Pour La Vente), c'est comme ça que je considère cet étrange texticule. Et d'ailleurs (en toute logique) l'exercice est chapeauté par le service marketing.
GD