T. D. R. a écrit :La scène qui m'avait profondément marqué reste celle où une bande de privilégiés oisifs et avinés, probablement dans l'immense propriété de l'un d'eux, s'amuse à incendier des arbres. Pour moi, du haut de mes 15 ans, et encore aujourd'hui, cela résume tout le genre humain. On est peu de chose.
Vu au même âge, énorme choc aussi. Terrible prémonition de l'attitude des gouvernants et des possédants aujourd'hui face au dérèglement climatique...