Christopher Priest (1943-2024)

[Pierre-Paul Durastanti]

Nina Allan annonce le décès hier de Christopher Priest.

[Soleilvert]

Douleur

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Beaucoup de souvenirs.
Il me manquera.
J'aime à croire qu'il est monté dans un de ces petits avions qu'il aimait tant, qu'il l'a piloté par-delà le vortex pour se poser sur une des îles paisibles et tièdes de l'archipel du rêve, où l'attendaient une maison pleine de livres reliés et une bonne bouteille de vin blanc au réfrigérateur.

GD

[ChristianM]

Aïe, la série noire continue...

Et celui-là, je l'ai connu dès son premier roman, en Dimensions SF, et il figure depuis dans mon top 10. C'est dur :-(

[M]

Purée c'est violent 2024. Priest j'ai l'impression de l'avoir toujours connu dans les rayons de mes libraires ou bibliothèques.

Que la terre lui soit légère.

[T. D. R.]

"Le monde inverti" est le seul livre (et j'en ai quand même lu quelques-uns) que j'ai dévoré d'une traite (4 ou 5 heures, je ne sais plus), tant le roman était prenant. J'avais tenté plus tard "La séparation", mais je n'avais pas accroché, sans toutefois remettre en cause son talent, indéniable; évident. J'étais en fait trop éloigné de ses sensibilités pour parcourir davantage son œuvre.
Pour moi, il fait partie de ces auteurs indiscutables, comme Ballard, Dick, Pelot ou Shepard.
Où qu'il soit, hier ou demain, il peut être fier de ce qu'il a accompli.

[Weirdaholic]

Pour moi, il fait partie de ces auteurs indiscutables, comme Ballard, Dick, Pelot ou Shepard.

Ce sont aussi souvent des auteurs (je parle pour moi) à relire parce qu'on en a garde un souvenir plus ou moins flou... (Encore que Ballard, j'ai bien en tête sa deuxième manière, et Shepard, je me souviens au moins des UHL.)

Priest, là, tout de suite, j'ai quelques sensations venus du Prestige, l'atmosphère d'illusionnisme pour laquelle j'avais lu le roman.

[Jean-Jacques Nguyen]

"Le monde inverti" est le seul livre (et j'en ai quand même lu quelques-uns) que j'ai dévoré d'une traite (4 ou 5 heures, je ne sais plus), tant le roman était prenant. J'avais tenté plus tard "La séparation", mais je n'avais pas accroché, sans toutefois remettre en cause son talent, indéniable; évident. J'étais en fait trop éloigné de ses sensibilités pour parcourir davantage son œuvre.
Pour moi, il fait partie de ces auteurs indiscutables, comme Ballard, Dick, Pelot ou Shepard.
Où qu'il soit, hier ou demain, il peut être fier de ce qu'il a accompli.

Comme Thierry. "Le monde inverti" en édition poche dans les années 70 (J'ai Lu je crois, je ne l'ai plus), puis la claque des "Archipels du rêve".
Je l'avais rencontré brièvement pour une dédicace aux Utopiales en 2018...

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

La nécro de Locus.

GD

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Et celle de The Guardian.

GD