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Copenhagen Cowboy, Nicolas Winding Refn (2022)
- Thomas Day
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Re: Copenhagen Cowboy, Nicolas Winding Refn (2022)
J'ai bien aimé la filmographie de Nicolas Winding Refn : Le guerrier silencieux, Drive, la trilogie Pusher, un peu moins Only God forgives.
Je trouve qu'il a sa patte, sa marque de fabrique : ses plans longs, invitant à la contemplation, sa bande son particulière, son éclairage au néon, et ses sujets, le milieux de la drogue, de la prostitution, la violence.
Je ne pouvais que me diriger vers cette série, qui combine tout.
Je ne suis pas déçu. Pour vous faire une image, imaginez une nuit, une enseigne éclairée au néon, et à l'intérieur des choses sales, du trafic.
Le dernier épisode est le plus énigmatique, un peu Lynchien, des images dont on devine le sens. Le cinéma de Refn atteint ici son paroxysme : si dans les épisodes précédents les dialogues étaient rares, là, sur les dernières images, ils sont absents. ça donne d'autant plus de force à l'image.
Toujours est-il, que, dans cette série, une de ses qualités, c'est qu'elle est imprévisible.
A voir, pour la marque de fabrique du réalisateur.
Je trouve qu'il a sa patte, sa marque de fabrique : ses plans longs, invitant à la contemplation, sa bande son particulière, son éclairage au néon, et ses sujets, le milieux de la drogue, de la prostitution, la violence.
Je ne pouvais que me diriger vers cette série, qui combine tout.
Je ne suis pas déçu. Pour vous faire une image, imaginez une nuit, une enseigne éclairée au néon, et à l'intérieur des choses sales, du trafic.
Le dernier épisode est le plus énigmatique, un peu Lynchien, des images dont on devine le sens. Le cinéma de Refn atteint ici son paroxysme : si dans les épisodes précédents les dialogues étaient rares, là, sur les dernières images, ils sont absents. ça donne d'autant plus de force à l'image.
Toujours est-il, que, dans cette série, une de ses qualités, c'est qu'elle est imprévisible.
A voir, pour la marque de fabrique du réalisateur.
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