De l'espace et du temps, Alastair Reynolds (mars 2024)

[Erwann]

Le cinquantième (déjà !) titre de la collection UHL sera De l'espace et du temps d'Alastair Reynolds. Traduit par Laurent Queyssi, cette novella paraîtra le 21 mars sous une couverture d'Aurélien Police.
Au programme : une catastrophe sur Terre, et un dernier homme sur Mars qui se retrouve bientôt le dernier homme tout court. Son ami imaginaire assis à un grand piano Bosendörfer et aux lunettes extravagantes, ça ne compte pas. Bon, il va arriver un petit pépin d'ordre vital à ce dernier homme. Et à partir de là, la novella décolle comme une fusée.
La fiche du livre.

[Erwann]

Pour le plaisir des yeux, revoici la couverture d'Aurélien Police :

[JFS]

Joie ! et jolie couverture, comme toujours dans cette collection.

[JDB]

Repérés par Yvan Fauth dans sa sélection mars-avril: Le Monde tous droits réservés de Claude Ecken, et De l'espace et du temps et La Maison des soleils d'Alastair Reynolds--voir ici.
JDB

[Erwann]

La précommande est maintenant ouverte pour la vertigineuse novella d'Alastair Reynolds !

[JDB]

Bon, c'est décidé: le 21 mars (ou le lendemain, ou le surlendemain), je fais une virée à Toulouse pour me l'acheter.
Ben oui, désormais je regarde à la dépense.
Ce qui me m'empêchera pas de passer à la boutique cinéma d'Ombres blanches pour rafler leurs nouveautés de poliziottesco--surtout les combos Dévédé/Blouré de Elephant Films, avec habillage de Melchior Ascaride.
D'ailleurs, je vous laisse, j'en ai cinq ou six en retard de visionnage (ces films-là, tu les achètes et tu les thésaurises avant qu'ils ne soient censurés--celui-ci est le manuel de tout ce qu'il ne faut pas faire quand on est flic en France aujourd'hui).
Et ne me traitez pas de facho: j'assouvis mes fantasmes, c'est tout.
JDB

[JDB]

PS: En fait, je crois que je vais éviter le quartier pendant quelques jours--trop dangereux.
JDB

[Soleilvert]

La couverture ... une double étoile rouge sur un continent ... un mauvais rêve sans doute ...

[Erwann]

À elle seule, cette novella donne une définition de la science-fiction, celle des enchantements intellectuels et de l’immensité des imaginaires. C’est amené non sans humour, mais avec véritable réflexion sur le sens de la vie, de l’univers et de tout le reste. L’exercice est purement intellectuel, et il lui manque une émotion autre que le vertige pour emporter plus encore le lecteur mais cet aspect n’a jamais été le fort d’Alastair Reynolds. Nous ferons sans, mais avec passion.

L'avis de FeydRautha !

[JDB]

Frédérique Roussel sur le site de Libé (article réservé aux abonnés).
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