Olivier Girard a écrit :En attendant, on la lira sous peu dans un prochain n° de Bifrost. Plusieurs années après son dernier texte publié, me semble-t-il.
2017, selon noosfere.
Olivier Girard a écrit :En attendant, on la lira sous peu dans un prochain n° de Bifrost. Plusieurs années après son dernier texte publié, me semble-t-il.
Olivier Girard a écrit :Ça, c'est pas à nous qu'il faut le dire. :-)
Il y a quelques années, Mélanie m'a proposé un texte qui aurait pratiquement pu rentrer dans les canons de la collection. C'était dans le cadre du dossier que nous lui avons consacré dans le n°77 de Bifrost. Pratiquement, car de mémoire, le texte en question faisait dans les 90 000 signes, ce que est court pour UHL. J'espère bien qu'un jour, Mélanie remettra le couvert sur un format suffisamment ample pour intégrer la collection. En attendant, on la lira sous peu dans un prochain n° de Bifrost. Plusieurs années après son dernier texte publié, me semble-t-il.
M a écrit : Comment sont calculés ces droits ?
Pierre-Paul Durastanti a écrit :C'est assez récent en France -- une dizaine d'années ?
Pierre-Paul Durastanti a écrit :M a écrit : Comment sont calculés ces droits ?
Au nombre de sorties des livres, je crois.
C'est assez récent en France -- une dizaine d'années ? En GB, c'est depuis 1984 (!), et on le devrait en partie à Kay Dick, l'autrice de Eux.
La rémunération pour le prêt des livres, au bénéfice de leurs auteurs et de leurs éditeurs, est financée en partie par l’État et en partie par les ventes de livres aux bibliothèques.
Les bibliothèques et centres de documentation assujettis au droit de prêt, ainsi que leurs fournisseurs de livres, doivent ainsi procéder aux déclarations de leurs achats ou de leurs ventes de livres auprès de la Sofia. Les fournisseurs de livres reversent, sur la base de ces déclarations, une redevance correspondant à 6% du prix public hors taxe des livres vendus aux organismes de prêt. L’État, quant à lui, verse à la Sofia une contribution calculée sur le nombre d’usagers inscrits dans les bibliothèques de lecture publique et les bibliothèques universitaires.
La perception des droits
Les organismes de prêt et les fournisseurs de livres à ces organismes doivent chaque année communiquer à la Sofia les informations relatives à leurs acquisitions ou à leurs ventes de livres. Ces déclarations permettent à la Sofia de percevoir les sommes dues par les fournisseurs, mais également de répartir très exactement les droits aux auteurs et aux éditeurs de ces livres. La répartition du droit de prêt est en effet calculée sur la base des exemplaires achetés par titre et non sur le nombre de prêts intervenus par titre.
En 2022, le total des redevances perçues auprès des fournisseurs de livres s’est élevé à 7,26 M€ et la contribution de l’État à 10,70 M€, auxquels ont été ajoutés 0,30 M€ de produits financiers, soit un montant total de perception de 18,26 M€.
La répartition du droit de prêt est en effet calculée sur la base des exemplaires achetés par titre et non sur le nombre de prêts intervenus par titre.
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