JFS a écrit :Chic ! un nouveau boobgate en perspective. Je cours m'installer devant Facebook avec du popcorn :-)
Je n’avais pas osé faire de remarque sur le décolleté :-)
JFS a écrit :Chic ! un nouveau boobgate en perspective. Je cours m'installer devant Facebook avec du popcorn :-)
Lhisbei a écrit :Oh, on peut aussi en parler ici. Quand je vois la couv je vois : couleur rose, gros seins et mère. Soit une empilade de cliché pour une autrice.
Aldaran a écrit :Lhisbei a écrit :Oh, on peut aussi en parler ici. Quand je vois la couv je vois : couleur rose, gros seins et mère. Soit une empilade de cliché pour une autrice.
Tu n'as pas pu louper le godemiché ! oO
C'est ce qui m'a sauté aux yeux avant tout, perso.
Lhisbei a écrit :Au risque de surprendre (il paraît que j'ai l'esprit mal tourné, parfois) je n'ai pas vu le godemiché. ;) merci d'avoir attiré mon attention.
Lhisbei a écrit :Ah, et pas la peine de décrypter la couverture ou expliquer à quoi elle fait référence. Elle est probablement tout à fait justifiable, justifiée et référencée. Mais en terme de première impression, elle agit, pour moi, comme repoussoir.
Weirdaholic a écrit :
La seule référence possible que je vois
Tivonel, bright spirit from the winds of Tyree, is still on her life-way
although in dark and surpassing strangeness among the stars. The
energy-configuration that is her essence glides from point to point in the
vastness of the Destroyer—no, we have to call it the Saver now, she
thinks—with the skill with which her winged body had once breasted
Tyree's gales.
Je suis en ce moment à Chicago et dans la région, où me retiennent des raisons de famille, famille qui se présente sous les traits d’une vieille mère pas facile à manier. Tu ne croirais jamais quel sacré nombre de gens, à Chicago, ont l’air d’avoir des parents qui atteignent des âges catastrophiques. Il y a là un thème qui revient, semble-t-il, sans cesse dans ma vie — cette bonne Virginia Kidd peut te le dire, qui depuis des années me permet de venir épancher sur son épaule compatissante les larmes que cela m’arrache. J’ai essayé de mettre ça dans une nouvelle que l’on garde depuis longtemps sous le coude, à Galaxy, et qui s’intitule "Mother in the Sky with Diamonds". On y voit un inspecteur d’assurances de la Ceinture d’astéroïdes affligé d’une vieille mère qui est une ancienne pionnière de l’espace. Elle stationne illégalement dans le vide, et il s’efforce d’assurer son ravitaillement tout en se heurtant, pour tout arranger, aux exigences d’un patron qui est un salaud. Alors un jour tout pète à la fois ; il dégueule et fonce dans le décor — ou à peu près.
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