Là, par contre, rien à redire à la couv'. Forcément, c'est de l'Aurélien Police...
La présentation de l'éditeur :
Critic a écrit :4ème de couverture
Et si le réchauffement climatique s’inversait ?
Une bonne nouvelle ? Pas si sûr…
Antarctique, 2070.
Mila Stenson est l’héritière tourmentée d’une multinationale tentaculaire, fondée sur le cryo-dollar et le réchauffement climatique. Mais la chute inexpliquée des températures menace son empire et des rêves étrangement réalistes troublent son sommeil.
Lorsqu’elle apprend qu’un message rédigé à son attention dans une langue inconnue a été détecté dans la glace, c’est le déclic. Accompagnée par Valda Kalitsch, une climatologue maladroite et brillante, et Paul Damann, un technicien polaire rongé par son passé, elle décide de répondre à l’appel austral. Une enquête dans la poudreuse et le vent déchaîné, à la toute pointe du froid, avec la promesse de comprendre, peut-être, qui ils sont vraiment.
Un récit tout aussi rafraîchissant que Le Chant des Glaces et impactant que Cité d’Ivoire. La Couleur du froid nous plonge une nouvelle fois au cœur des tourmentes polaires. Un récit fleuve et choral conjuguant vulgarisation scientifique et beauté violente des pôles, qui débute comme une aventure à la Jack London et nous emporte bien vite vers des pistes inattendues...
Le premières chroniques :
* Au pays des caves trolls a été perdue par la bascule du thriller dans la hard SF ;
* Fantasy à la carte souligne l'aspect engagé et émouvant du roman ;
* Weirdaholic essaye d'expliquer pourquoi Jean Krug s'éloigne de Damasio pour aller vers Egan ou Watts, mais aussi Lem ou Leroux... (Hey, what did you expect ? ^_^)