Le Fruit amer | Les Moutons électriques

[Thomas Day]

Chez Livres Hebdo on apprend que Les Moutons électriques se lancent dans le fantastique et l'horreur avec une nouvelle collection, Le Fruit amer.

https://www.livreshebdo.fr/article/le-f ... lectriques

Premier titre annoncé : Atlas de l'enfer de Nathan Ballingrud (traduction d'Alice Ray).

Le recueil avait été critiqué par L'Epaule d'Orion.

Je l'ai lu, c'est très bien, mais globalement invendable en France.

[M]

Je l'ai lu, c'est très bien, mais globalement invendable en France.

Pas grave ils feront les suivants avec un crowfounding. Ou un crowfounding de Jaworsky pour financer les autres.

[Razheem L'insensé]

Je suis en train de le finir.
C'est très très (très) bien.

[FeydRautha]

Je suis en train de le finir.
C'est très très (très) bien.

Il m'en reste des images puissantes longtemps après sa lecture. Notamment d'une nouvelle que j'ai trouvée moins bonne que les autres mais qui, le temps passant, produit un effet grandissant.

[Weirdaholic]

Chez Livres Hebdo on apprend que Les Moutons électriques se lancent dans le fantastique et l'horreur avec une nouvelle collection, Le Fruit amer.

https://www.livreshebdo.fr/article/le-f ... lectriques

Premier titre annoncé : Atlas de l'enfer de Nathan Ballingrud (traduction d'Alice Ray).

Le recueil avait été critiqué par L'Epaule d'Orion.

Je l'ai lu, c'est très bien, mais globalement invendable en France.

Au vu du titre de la nouvelle collection j'ai craint un instant que les Moutons électriques ne se lancent dans la romantasy... ^_^ Me voilà rassuré !

Sinon, sérieusement, l'invendabilité, c'est pour la forme (recueil de nouvelles) ou le fond (splatterpunk) ?

[Pierre-Paul Durastanti]

Sinon, sérieusement, l'invendabilité, c'est pour la forme (recueil de nouvelles) ou le fond (splatterpunk) ?

Le Bélial' prouve très régulièrement qu'on peut bien vendre des recueils.
Le fantastique, par contre, c'est plus compliqué, quand on ne s'appelle pas Stephen King.

[Laurent Queyssi]

Le fantastique, par contre, c'est plus compliqué, quand on ne s'appelle pas Stephen King.

Ou Mariana Enriquez, Stephen Graham Jones, Michael McDowell, Catriona Ward...

[Razheem L'insensé]

Le fantastique, par contre, c'est plus compliqué, quand on ne s'appelle pas Stephen King.

Ou Mariana Enriquez, Stephen Graham Jones, Michael McDowell, Catriona Ward...

Intéressant ce que tu remarques là, on a quand même la sensation que le fantastique se vend quand il n'est pas vendu dans une collection identifiée imaginaire.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Le fantastique, par contre, c'est plus compliqué, quand on ne s'appelle pas Stephen King.

Ou Mariana Enriquez, Stephen Graham Jones, Michael McDowell, Catriona Ward...

Marianna Enriquez c'est pas un succès commercial flagrant. C'est bien, mais c'est pas au niveau d'un King.
Stephen Graham Jones ça ne se vend pas du tout en France.
Michael McDowell, je ne suis pas sûr que ça soit de l'horreur. Il y a eu un phénomène autour du livre-objet.
Il n'a pas de surnaturel chez Catriona Ward, c'est (dans tous ceux que j'ai lu) une fausse piste. Et les ventes sont moins bonnes que celles de Mariana Enriquez.
Après, à mon avis, faut comparer ce qui est comparable : un recueil d'horreur avec un recueil d'horreur.
Si ça saigne de Stephen King a été un énorme succès et s'est vendu plus que certains de ses romans récents...

GD

[Razheem L'insensé]

Le fantastique, par contre, c'est plus compliqué, quand on ne s'appelle pas Stephen King.

Ou Mariana Enriquez, Stephen Graham Jones, Michael McDowell, Catriona Ward...

Marianna Enriquez c'est pas un succès commercial flagrant. C'est bien, mais c'est pas au niveau d'un King.
Stephen Graham Jones ça ne se vend pas du tout en France.
Michael McDowell, je ne suis pas sûr que ça soit de l'horreur. Il y a eu un phénomène autour du livre-objet.
Il n'a pas de surnaturel chez Catriona Ward, c'est (dans tous ceux que j'ai lu) une fausse piste. Et les ventes sont moins bonnes que celles de Mariana Enriquez.
Après, à mon avis, faut comparer ce qui est comparable : un recueil d'horreur avec un recueil d'horreur.
Si ça saigne de Stephen King a été un énorme succès et s'est vendu plus que certains de ses romans récents...

GD

Pour le Graham Jones, je suis surpris, même Un Bon Indien est un Indien mort ?
Pour Catriona Ward, le second volume, Mirror Bay, c'est du fantastique (spoiler alert !)
Globalement, je pensais que ça vendait plus que ce que tu as l'air de dire, c'est bien dommage.
Je ne comprends pas que l'horreur soit si repoussoir en France…